18 CHOSES QUE LES JEUNES DEVRAIENT SAVOIR SUR LE MARIAGE

De nos jours plusieurs jeunes prêtent à s'engager dans une relation amoureuse et avoir un foyer ne veulent pas le faire. Certains ont

De nos jours plusieurs jeunes prêtent à s’engager dans une relation amoureuse et avoir un foyer ne veulent pas le faire. Certains ont peur pour s’engager, à cause de leurs situations et d’autres se disent qu’ils ont peur ar rapport aux disputes.

Dans cet article, la rédaction de nouvelledafrique.com a révélé 18 choses que les jeunes doivent savoir sur le mariage.

1. Le mariage parfait n’existe pas .

2 . Une famille qui prie ensemble reste ensemble

3 . Excusez-vous même si vous n’êtes pas l’agresseur .

4 . Sachez que lorsque vous vous mariez, vous formez une nouvelle famille .

5 . Les désaccords peuvent être résolus sans se battre .

6 . Vous devez avoir une solide expérience financière avant de vous marier .

7. Il existe une forte relation entre la captivité collective et le mariage.

8 . Tous les couples doivent avoir leur propre maison .

9 . Les mariages ne se produisent pas par hasard, ils doivent être arrangés .

10 . Ne vous couchez jamais en colère l’un contre l’autre .

11. Les critiques et les plaintes détruisent l’amour.

12 . N’essayez jamais de forcer des changements de personnalité. Chacun a sa propre personnalité .

13 . La bonne chose au mauvais moment est toujours mauvaise .

14 . Les rencontres saines sont puissantes pour le mariage .

15 . Se marier est différent du mariage . La cérémonie ne dure que quelques heures, alors que le mariage est un événement de toute une vie .

16 . Sortir ensemble n’est pas ‘mariage’.

17 . Épouser un homme ou une femme pour la beauté, c’est acheter une maison pour la peinture .

18 . Le meilleur moment pour connaître la vraie beauté d’une femme est par la prière .

En tant qu’homme, ne soyez pas le casse-tête de votre famille, mais soyez le chef . Femme, ne sois pas « l’Enfer » de ton mari, mais son aide . La pire chose après l’enfer est un mauvais mariage.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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