RCA: Remy Ngono et Sabine Hortense Ntsama deux journalistes reconnus coupables d’offense au Président Touadera

L’information vient de tomber, l’heure de la justice a sonné et ceux qui dorénavant vont enfreindre à la loi seront poursuivis. C’est le cas


L’information vient de tomber, l’heure de la justice a sonné et ceux qui dorénavant vont enfreindre à la loi seront poursuivis. C’est le cas de ces deux dévergondés journalistes panafricanistes de pacotille que sont Remy Ngono et Sabine Hortense Ntsama qui viennent d’être cités à comparaître devant le tribunal correctionnel de Bangui d’ici le 23 juin 2022.

Ces pseudos journalistes panafricanistes se sont toujours illustrés par des injures contre certaines personnalités africaines, pratiques qui sont à l’antipode de ce métier noble qu’est celui de journaliste. D’après cette citation directe, ces lascars se sont dévoyés en s’écartant volontairement de la déontologie de leur profession pour invectiver par des allégations infondées, des autorités centrafricaines notamment le Président Touadera lors d’une émission diffusée sur les réseaux sociaux.
A noter que ces propos mensongers de ces journalistes démontrent à suffisance le degré de discrédit que ces journalistes ont voulu porter sur la personnalité du Président Touadera qui est détenteur d’un pouvoir public.


C’est déjà un message fort pour tous ces égarés de la diaspora africaine dans le monde entier qui se complaisent dans des injures contre certains personnalités politiques des pays africains. La condamnation de ces prétendus journalistes servir de leçon à certains ripoux dénommés « 12 Apôtres » notamment un certain Mayté et consort qui s’inscrivent dans la même logique de ceux-ci. C’est dire que le glaive de la justice est suspendu sur leurs têtes, et il en sera désormais ainsi avec la justice centrafricaine.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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