Voici ce qu’on ne vous dira jamais sur le Moyen-Âge européen

Le Moyen-Âge est une époque où l'Europe a connu le développement surtout la construction des châteaux et des Palais. Cet époque est

Le Moyen-Âge est une époque où l’Europe a connu le développement surtout la construction des châteaux et des Palais. Cet époque est marquée aussi par des choses qui sont méconnues. Hygiène au Moyen-Âge était totalement déplorable.

Au Moyen-Âge, il n’y avait pas de brosses à dents, de parfums, de déodorants et encore moins de papier toilette. En visitant le palais de Versailles à Paris, on remarque que le somptueux palais n’a pas de toilettes. Les excréments humains étaient jetés par les fenêtres du palais.

En vacances, la cuisine du palais a pu préparer un banquet pour 1500 personnes, sans la moindre hygiène. Dans les films actuels, nous voyons les gens de cette époque secouer ou s’éventer… L’explication n’est pas dans la chaleur mais dans la mauvaise odeur qu’ils émettaient sous les jupes (qui ont été faites exprès pour contenir l’odeur des parties intimes car il n’y avait pas d’hygiène). Ce n’était pas non plus l’habitude de prendre une douche à cause du froid et de l’absence presque d’eau courante.Seuls les nobles avaient des laquais pour les éventer, pour dissiper la mauvaise odeur qui expiraient le corps et la bouche, ainsi que pour chasser les insectes.


Ceux qui sont allés à Versailles ont admiré les jardins énormes et magnifiques qui, à l’époque, étaient non seulement contemplés mais utilisés comme toilettes dans les fameuses ballades promues par la monarchie, parce qu’il n’y avait pas de toilettes.

Les toilettes étaient prises dans une grande baignoire remplie d’eau chaude.
Le chef de famille a eu le privilège de prendre un premier bain dans de l’eau propre.
Puis, sans changer l’eau, les autres arrivaient à la maison, par ordre d’âge, les femmes, aussi par âge et enfin les enfants. Les bébés étaient les derniers à prendre un bain.

Quand son tour arrivait, l’eau dans la baignoire était si sale qu’il était possible de tuer un bébé à l’intérieur. Les toits des maisons n’avaient pas de ciel et les poutres en bois qui les tenaient étaient le meilleur endroit pour les animaux : chiens, chats, rats et coléoptères pour rester au chaud.Quand il pleuvait, les fuites forçaient les animaux à sauter par terre.


Ceux qui avaient de l’argent avaient des assiettes en conserve. Certains types de nourriture rouillaient le matériel, causant la mort de nombreuses personnes par empoisonnement.Rappelons-nous que les habitudes d’hygiène de l’époque étaient terribles. Les tomates, étant acides, ont été considérées comme toxiques pendant longtemps, les tasses en conserve étaient utilisées pour boire de la bière ou du whisky ; cette combinaison laissait parfois l’individu « au sol » (dans une sorte de narcolepsie induite par le mélange de boisson alcoolisée avec de l’oxyde d’étain).Quelqu’un qui traversait la rue penserait qu’il était mort, alors ils ramassaient le corps et se préparaient pour les funérailles.Puis le corps était placé sur la table de la cuisine pendant quelques jours et la famille restait à regarder, manger, boire et attendre de voir si le mort se réveillerait ou non. D’où la veillée aux morts (véléatoire ou veillée) qui est la veillée à côté du cercueil.

L’Angleterre est un petit pays où il n’y avait pas toujours de place pour enterrer tous les morts. Puis les cercueils étaient ouverts, les os étaient extraits, placés sur des ossuaires et la tombe était utilisée pour un autre corps. Parfois, en ouvrant les cercueils, on remarquait qu’il y avait des égratignures sur les couvercles à l’intérieur, ce qui indiquait que l’homme mort avait en fait été enterré vivant. Ainsi, en fermant le cercueil, l’idée est née d’attacher une bande de poignet du défunt, de la passer dans un trou fait dans le cercueil et de l’attacher à une cloche. Après l’enterrement, quelqu’un restait de service près de la tombe pendant quelques jours.

Si l’individu se réveillait, le mouvement de son bras ferait sonner la cloche. Et il serait « sauvé par le gong », expression populaire utilisée par nous jusqu’à aujourd’hui. Ce que nous faisons aujourd’hui par tradition, nous le faisons sans le savoir. Et nous ne suivons les traditions que si nous sentons. Comme le carnaval, Halloween, etc.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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