“Fête de la bière” en Palestine : les internautes algériens tombent des nues

Les images de la « fête de la bière » en Palestine, organisé pourtant depuis 17 ans, diffusées dans un reportage sur Canal+, ont fait réagir les

Les images de la « fête de la bière » en Palestine, organisé pourtant depuis 17 ans, diffusées dans un reportage sur Canal+, ont fait réagir les internautes algériens, souvent qualifiés de « plus palestiniens que les palestiniens, plus arabes que les arabes et plus musulmans que les musulmans ».

En effet, « en Algérie où la bière est devenue denrée rare du fait du conservatisme religieux qui a pris de l’ampleur ces dernières années et qui en est arrivé à même décréter que la glace et les sorbets sont interdits aux femmes, difficile d’admettre qu’en Palestine, la cause qu’il affectionne plus que la cause de leur nation, « on puisse organiser un tel événement de… mécréants », juge un internaute.

« Ces kouffars ne méritent pas ce pays saint », estime un autre algérien dans un commentaire.

Une internaute écrit : « Les algériens pensent que les palestiniens passent leur temps dans la mosquée AL Qods à prier »

« Faites de la bière, pas la guerre » : un Oktoberfest en Palestine

« L’Effet Papillon » sur Canal+ est dédié à l’Oktoberfest, à l’occasion de sa douzième édition. Un juif d’Israël, un chrétien d’Orient et un musulman de Palestine réunis autour d’une pinte : l’image peut paraître surréaliste. Elle se fait pourtant réalité à l’Oktoberfest de Taybeh, un village biblique millénaire situé à une trentaine de kilomètres au nord de Jérusalem.

En effet, chaque année ou presque, depuis 2005, une famille de brasseurs palestiniens organise un festival de la bière, unique en son genre, dans la région cisjordanienne. Tous les ans au début de l’automne, près de 15 000 personnes du monde entier se déplacent jusqu’à Taybeh pour assister à ce festival. Au programme : dégustations de bière artisanale le jour et concerts de musique contemporaine la nuit, le tout dans une ambiance conviviale…

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Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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