Privé de gaz algérien, le Maroc subi les conséquences d’une sécheresse aigue

Le Maroc a soif et souffre d’une sécheresse aigue, aggravée par la rupture de l’alimentation en gaz du pays par l’Algérie. Le Maroc qui n’a pas mesuré les conséquences de la normalisation de ses relations diplomatiques avec l’entité sioniste, paie très cher la réaction de l’Algérie qui a décidé de ne plus l’approvisionner en gaz naturel.

Les attaques de tous genres menées par le Maroc contre l’Algérie ainsi que la normalisation de ses relations avec l’entité sioniste, ont fini par faire réagir l’Algérie qui a décidé de la rupture de ses relations avec ce voisin de l’Ouest.

Du coup, le gaz acheminé vers l’Espagne ne passe plus par le Maroc. Le royaume ne bénéficie plus de cette ressource énergétique qui a carrément paralysé l’économie marocaine, aggravé par une sécheresse sans précédent.

Il faut relever que le Maroc est dépendant de l’Algérie en gaz quand on sait qu’il bénéficiait d’un milliard de mètres cubes par an, ce qui représente 97% de ses besoins. Faute de gaz algérien, les turbines permettant de dessaler l’eau et de faire fonctionner les stations d’épuration et de traitement de l’eau sont à l’arrêt au Maroc.

Aujourd’hui, le a soif au sens propre du terme. Les Marocains ne trouvent pas d’eau potable ! La situation est jugée alarmante par les autorités du royaume qui n’ont pas trouvé d’autres solutions que d’appeler au rationnement de l’utilisation de l’eau !

Selon plusieurs sites d’information au Maroc, les autorités ne cessent pas de multiplier les appels envers la population, les exhortant à une consommation optimale des ressources en eau disponibles et au recours à tous les moyens pour ne pas les gaspiller, l’objectif étant de faire face au stress hydrique que ce pays. C’est la conséquence de la décision du Makhzen qui s’en est pris à l’Algérie, dont la réaction a été fatale pour le royaume.

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Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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