Depuis la rentrée scolaire 2022-2023, les enseignants sportifs du grand Lycée Technique du Togo, Lycée Technique d’Adidogomme travaillent dans des conditions très misérables, pas pour défaut de salaire de la part de l’Etat, plutôt pour les installations sportives.
Avec la création du centre de formation IFAD, un projet de la présidence, les enseignants sports du Lycée Technique d’Adidogomme ne sont plus à l’aise. Ils travaillent dans une condition très précaire. Il y a plus de terrain praticable, plus de sautoir, plus de grimper bref plus rien correcte pour qu’ils travaillent proprement avec plus de 5000 élèves.
Le centre de formation IFAD, qui compte moins de 300 a pris tous les deux terrains qui étaient à la disposition du Lycée Technique et essayé de faire un semblant terrain pour le Lycée, qui après chaque pluie est impraticable. Les enseignants sportifs du Lycée Technique sont très remontés, mais ne savent pas quoi faire.
La rédaction de Nouvelle d’Afrique, après avoir constaté les faits a tenté d’interroger les enseignants chargés du sport dans l’établissement, n’ont pas voulu se prononcer sur le sujet. A l’heure que nous écrivons cet article, les deux terrains n’existent plus pour le moment. Selon, les informations, le centre a supprimé un des terrains et veut installer un terrain synthétique réduit pour ses élèves.
Le Lycée qui ne dispose plus des installations sportives vont faire les examens sports où? Que l’Etat ou la présidence qui détient le projet de l’IFAD pense au nombre pléthorique du Lycée Technique pour résoudre rapidement le problème, sinon un seul terrain avec des flaques d’eau ne peuvent pas faire l’affaire avec 5000 élèves contre 300 de l’IFAD.
Est-ce que le proviseur est au courant ?
Est-ce que vous lui avez posé des questions à propos de cela ?
Donc vous m’arrêtez ces articles avec des faux problèmes.
je ne fait que décrire ce que j’ai constaté et vient voir le terrain actuellement après la pluie.
Va sur le site tu verras la réalité. J’ai pas besoin de l’avis du proviseur avant de produire mon article. Je t’informe qu’après notre article, les choses se sont biens passés même et les travaux continuent.