Rwanda: Ça pique du côté de M23 (communiqué)

La Direction du Mouvement du 23 Mars, en sigle M23, informe la communauté Nationale et internationale ce qui suit

Le Gouvernement de Kinshasa a violé le droit international tel que stipulé dans la Convention internationale contre le recrutement, lubilisation, le financement et la formation de mercenaires, adoptée par la résolution 44/33 de l’Assemblée Générale des Nations Unies, le 04 décembre 1989 Le Gouvernement de Kinshasa n’a pas seulement viale la convention de l’ONU mentionnée ci-dessus mais aussi de l’Union africaine: Convention de l’OUA pour l’élimination du mercenariat en Afrique.

Le Gouvernement de Kinshasa crée le chaos dans notre pays et dans la région des Grands Lacs d’Afrique en externalisant le conflit en cours et en utilisant les mercenaires pour combattre le M23 sur toutes les lignes de front aux côtés des forces de la coalition du Gouvernement de Kinshasa qui sont FARDC, FDLR, NYATURA, APCLS, PARECO et MAI-MAI

Tenant compte de comportement irresponsable, le Gouvernement de Kinshasa devrait être privé de tout soutien mais au contraire la MONUSCO est devenue le pilier de la coalition contre son propre code d’impartialité et est impliquée dans la violation du cessez-le-feu. La MONUSCO utilise ses drones pour effectuer des reconnaissances sur les positions du M23 pour la coalition Gouvernementale, et cette dernière les bombarde avec ses avions Sukhoi 25, chars de combats et l’artillerie lourde

Le M23 condamne les bombardements continuels des zones fortement peuplées par les forces de la coalition du Gouvernement de Kinshasa avec Taide de la MONUSCO.

Le M23 continue de se défendre professionnellement et de protéger les populations civiles et leurs biens, aussi ne ménagera aucun effort pour faire face à la menace d’où qu’elle vienne. Fait à Bunagana, le 25 janvier 2023 Le Porte Parole Politique du Mouvement du 23 Mars.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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