0076/HAAC/01-2023/pl/P
Après avoir régner durant les années sur le parti républicain, l’ancien chef de l’État qui rêve de retourner dans la maison blanche en 2024 ,semble avoir perdu de sa superbe ,nous dévoile le journal Parisien.
Il n’est JAMAIS trop tôt, comme semble le penser Donald Trump. Près de deux ans avant le scrutin présidentiel, le républicain a donné le top départ de sa campagne, en retrouvant samedi passé la ferveur des meetings en Caroline du Sud après le New
Hampshire (États-Unis).
Devant ses soutiens, le
milliardaire a rejoué sa partition habituelle, répétant que l’élection de 2020 lui avait été
volée. « L’élection de 2024 est
notre seule chance de sauver notre pays et nous avons besoin d’un leader qui est prêt à le faire dès le premier jour », a clamé l’ancien président.
Le ton se voulait trumpien, tout comme les thèmes abordés l’idéologie du genre, qui
minerait l’armée, ou la théorie critique de la race, qui serait imposée à l’école. « Trump ne
changera pas. Il use des
mêmes ficelles qu’avant, même si celles-ci séduisent un peu moins une partie des électeurs américains », observe Dominique Simonnet, essayiste et coauteur des « Grands jours qui ont changé l’Amérique » (Éd. Perrin).
De nombreux élus lui reprochent le mauvais score du parti lors des dernières élections de mi-mandat. Car si les
républicains ont repris le
contrôle de la Chambre des représentants, ils ont échoué à ravir le Sénat aux démocrates.
La faute à l’ex-président
qui, selon certains, se serait obstiné à présenter des candidats jugés trop extrêmes nous indique le journal Parisien en France
J’adore Donald Trump.
S’il était là, la guerre en Ukraine n’aurait pas eu lieu.