Carvajal : « Si je quitte le Real, je ne… »

Dans une interview accordée au média anglais The Athletic, Dani Carvajal s’est exprimé sur la situation actuelle du Real Madrid et de l’équipe nationale espagnole.

Il commence par évoquer le début de saison du Real Madrid : « Le départ de Toni Kroos, Nacho et Joselu a marqué un changement important. Avec l’arrivée de Kylian, l’entraîneur doit composer avec tous les grands joueurs que nous avons. Contre Majorque et Las Palmas, nous avons manqué de régularité, mais nous allons progresser. Lors du match contre le Betis, l’équipe a montré de bonnes choses. Nous avons livré une prestation assez complète. Après la trêve internationale, nous serons prêts à assembler toutes les pièces du puzzle. »

Carvajal : “Si je quitte le Real, je ne jouerai…”
Le latéral droit madrilène aborde ensuite son avenir : « Mon contrat court jusqu’à l’été prochain, et je ne pense pas encore à la retraite. Si je ne reste pas au Real Madrid, je ne jouerai plus en Europe. Les options seraient donc limitées aux États-Unis, au Qatar ou à l’Arabie Saoudite. La relation avec le club est transparente et très claire. Si les deux parties souhaitent continuer, j’espère rester ici encore de nombreuses années. »

Il a également évoqué Florentino Perez : « C’est le meilleur président. Il n’a cessé d’améliorer la cité sportive et le stade. Grâce à lui, le club est économiquement solide et performant sur le marché des transferts. Il est le leader incontesté du club. Personne ne doit être au-dessus du président, et son travail au Real Madrid est tout simplement remarquable. »

L’Espagnol a également commenté sa relation avec Lamine Yamal : « C’est incroyable qu’à son âge, il fasse déjà partie de l’élite au FC Barcelone et en équipe nationale. Il s’est très bien intégré au groupe. Il reste encore un enfant, donc il faut garder les pieds sur terre, mais c’est un garçon plein de talent. »

Carvajal est enfin revenu sur son accrochage avec Jamal Musiala : « C’était davantage un mème qu’autre chose. Je n’ai jamais eu l’intention de blesser Jamal, je voulais simplement stopper la contre-attaque. Il a réalisé un excellent contrôle, m’a dépassé, et j’ai essayé de le rattraper. Je l’ai attrapé par le col, mais j’aurais pu le saisir ailleurs. »

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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