Cameroun : Témoignage d’un Camerounais qui a vu Dj Arafat en enfer

Un jeune homme camerounais du nom de NESTOR BELINGA vient de faire une sortie sur le défunt Didier Arafat. Ce dernier déclare qu’il a vu le défunt artiste en enfer et demande au monde entier de cesser d’écouter les musiques de l’artiste.

Voici sa déclaration ou révélation

“Bien aimé, mon nom est NESTOR BELINGA, je suis camerounais. je ne suis pas fan d’Arafat, je viens témoigner non, dans le but, de salir la mémoire du défunt ,mais dans l’objectif de dire au monde d’arrêter d’écouter ses musiques. Tout a commencé en 2019, quand j’avais appris sa mort, je n’écoutais déjà converti, en faite je n’écoutais pas ses chansons. Lorsque la nouvelle le parvint qu’il est mort, j’ai senti en moi une tristesse immense, chose étonnante. Je vous assure, j’étais tellement attristé que , cela m’avait rendu omalade. mais cette tristesse ne venait pas de moi, mais de Jésus. Alors j’entendis une voix qui me dit : Je te montrerai là où Arafat est parti , il s’est fait Dieu, et les hommes l’on adoré, il s’est fait égale à Dieu. Mais toi fils de l’homme, tu n’as pas prier pour lui. La voix eut fini de parler, je compris alors pourquoi la tristesse était en moi. Le Seigneur voulait sauver Arafat, mais son contrat avec la mort était à son terme,, car Arafat avait fait un pacte avec le diable me dit Jésus. Il a vendu son âme pour la gloire, il a préféré la célébrité sans toute fois penser à Dieu, car selon lui ceux qui servent Dieu sont pauvres.

Après que le seigneur m’eût parler, je me repenti pour ne pas avoir prier, pour le salut des artistes. Après cela je me demandais : maintenant qu’il est mort,, je ne peux plus rien pour lui. Le saint Esprit parla à mon cœur et dit : tu ne peux plus rien pour lui, mais tu peux encore pour ses fans. Ce fils de diable amené beaucoup d’âmes en à son père satan, mais si tu pries beaucoup seront sauvés, car ses musiques sont envouteuses et en sorcellantes, ils ont besoin de la main puissante de Dieu, pour en être libérés” a indiqué NESTOR BELINGA.

En tout cas, chacun doit prendre sa croix.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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