Divers : Types d’amour que nous ressentons envers nos conjoints

Nous tombons amoureux de trois personnes au cours de notre vie. Chacune d’elles a une raison bien précise. Laisse-moi t’expliquer…

Le premier amour survient souvent tôt, dans notre jeunesse. Il est innocent et souvent, nous le laissons partir pour des raisons futiles. Plus tard, avec le recul et la maturité, on réalise que c’était bien de l’amour. C’était l’amour tel que nous le comprenions à ce moment-là, avec la profondeur que nous étions capables de lui donner.

Le deuxième amour est celui qui nous marque le plus profondément. Il est intense, mais il nous fait aussi beaucoup de mal. C’est cet amour qui nous apprend des leçons difficiles : la douleur, la trahison, les blessures émotionnelles. Cet amour nous transforme, nous pousse à grandir, à comprendre ce que nous voulons réellement et ce que nous ne voulons plus jamais vivre.

Après cette relation douloureuse, nous bâtissons des murs autour de nous. Nous devenons méfiants, prudents et parfois, nous avons peur de retomber amoureux. Mais au fond, nous savons désormais exactement ce que nous attendons d’une relation, ce qui est essentiel pour nous.

Et puis, il y a le troisième amour. Celui-ci arrive sans prévenir, il nous prend par surprise. On ne le cherche pas, il nous trouve. Tous les murs que nous avions érigés s’effondrent face à cet amour. Cette personne n’est peut-être pas ce que nous pensions être notre « type », mais avec elle, tout semble naturel. Ses imperfections deviennent des perfections à nos yeux. Nous nous ouvrons à elle sans retenue, partageant nos histoires, nos blessures et nos rêves.

Avec ce troisième amour, on se projette. On rêve de danser lentement dans la cuisine, de marcher sur la plage sous les étoiles, de fonder une famille. Chaque soir, avant de fermer les yeux, on remercie la vie de ne pas avoir réussi avec quelqu’un d’autre, car c’est cet amour-là, le véritable, celui qu’on attendait sans le savoir…

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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