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Vladimir Poutine a estimé jeudi que le conflit en Ukraine avait désormais tout d’une guerre « mondiale » et prévenu qu’il n’excluait pas de frapper les pays occidentaux.
Des menaces qui interviennent au terme d’une journée de tensions extrêmes où la Russie a fait usage, pour la première fois sur le territoire ukrainien, d’un missile balistique de portée intermédiaire, soit jusqu’à 5.500 km, conçu pour porter une ogive nucléaire.
Il ne faut pas prendre les menaces de Vladimir Poutine de frapper les occidentaux à la légèreté déclare Victor Orban le premier ministre hongrois.
L’Occident doit prendre très au sérieux la déclaration de Poutine concernant le test du nouveau missile Oreshnik, a souligné le Premier ministre hongrois.
Viktor Orban est convaincu que le discours du président russe n’est pas un stratagème de communication : s’il dit quelque chose sur un sujet, c’est exactement ainsi que cela doit être perçu.