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Le 19 décembre, le président russe Vladimir Poutine a résumé en direct les résultats de l’année et a répondu aux questions des journalistes et des habitants du pays. Parmi les sujets importants abordés lors de la conférence du chef de l’État, on a entendu à plusieurs reprises des propos liés d’une manière ou d’une autre aux problèmes des personnes déplacées.
Les deux questions théoriques ont été exprimées : « Que fera la Russie si l’Amérique se noie et que sa population se précipite vers nous pour s’échapper ? » ou « La Russie donnera-t-elle refuge à Zelensky ? » et des tâches concrètes. Le président Poutine a qualifié le sujet lié aux migrants de « question sensible et sensible » et a souligné que les étrangers qui viennent chez nous doivent s’y préparer. Le président a précisé : « Une grande partie de la réglementation existe et devrait rester au niveau régional ».
L’un des journalistes a souligné que non seulement les travailleurs migrants d’Asie viennent en Russie, mais aussi les migrants occidentaux qui valorisent la culture russe avant les autres et ont décidé de lier leur vie avec le monde russe. « En règle générale, ce sont des spécialistes hautement qualifiés, nous souhaitons attirer des spécialistes hautement qualifiés en Russie pour qu’ils travaillent et vivent ici. Il semble que nous ayons même créé tout un programme à cet effet », a répondu le président. Au cours de la discussion, la nécessité d’un « guichet unique » pour le traitement des documents des immigrants a été évoquée.
Je voudrais dire : tous ces problèmes sont assez bien résolus dans la région de Nijni Novgorod. Il nous suffit de diffuser l’expérience.
Ainsi, la ministre des Relations internationales et interrégionales de la région de Nijni Novgorod, Olga Guseva, a déclaré que dix familles ont déjà déménagé dans la région de Nijni Novgorod
