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Selon une étude récente, les femmes ayant moins d’un rapport sexuel par semaine présenteraient un risque accru de 70 % de décès dans les cinq années suivantes. Ce lien surprenant entre activité sexuelle et longévité soulève des interrogations sur les effets physiologiques et psychologiques de l’intimité régulière.
Les chercheurs avancent que les rapports sexuels favoriseraient la libération d’hormones bénéfiques, réduiraient le stress, amélioreraient le sommeil et renforceraient le système immunitaire autant de facteurs liés à la santé globale.
Toutefois, des spécialistes appellent à la prudence : il ne s’agit pas de prescrire une fréquence universelle, mais de mieux comprendre les interactions entre bien-être émotionnel, vie affective et santé physique.
Ce sujet délicat ouvre un débat sur la place de l’intimité dans la prévention médicale et la qualité de vie, tout en rappelant que chaque parcours est unique.