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Les réseaux sociaux tanzaniens s’enflamment autour de rumeurs visant la présidente Samia Suluhu Hassan. Selon ces informations non confirmées, plusieurs membres de sa famille auraient été nommés à des postes clés au sein du gouvernement, suscitant un vif débat sur le népotisme et la transparence politique.
Parmi les noms cités :
Mohamed Mchengelwa, ministre de la Santé, présenté comme le gendre de la présidente ; Wanu Hafidh Ameir, députée de Makunduchi et sous-ministre de l’Éducation, identifiée comme sa fille ; Khamis Musa Omar, ministre des Finances, décrit comme son beau-frère et ancien ambassadeur en Chine ; Rhimo Nyansaho, ministre de la Défense, réputé proche de la famille ; Rahma Kisuo, sous-ministre du Travail, considérée comme sa nièce.
Ces allégations, largement relayées en ligne, alimentent une controverse nationale et internationale. Elles posent la question de la frontière entre relations familiales et mérite politique, dans un pays où la présidente est scrutée pour ses choix de gouvernance.





