Face aux menaces violentes de ceux qui veulent mettre le pays à feu et à sang, le président Faustin-Archange Touadera rassure l’opinion nationale et internationale qu’il ne va pas se décourager et abandonner son peuple aux mains des ennemis de la paix.
Dans son discours prononcé à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Alimentation (JMA), le numéro un centrafricain a été ferme et sur un ton pressionné « Le pays ne sera pas pris en otage par des opposants politiques et les chefs rebelles(CPC) qui sont des vrais extrémistes du peuple centrafricain ».
Bien que le président Touadera puisse gérer le pays en toute clairvoyance avec une place accordée au dialogue avec les couches sociales, d’autres assoiffés du pouvoir ne cachent jamais leurs intentions de déstabiliser le pays et de soumettre les Centrafricains dans la misère interminable. Depuis plusieurs décennies, ce sont les mêmes têtes politiques et chefs rebelles qui se font parler d’eux.
A cause de leurs intérêts démesurés, ils sont toujours prêts à sacrifier le peuple centrafricain au vu et au su de tous. Pour mettre un terme à ces manigances politico-criminelles, le président Touadéra à son arrivée au pouvoir en 2016, a pris un ferme engagement de restructurer et de stabiliser son pays. C’est suite à cet engagement inscrit dans sa profession de foi qu’il a été élu par le peuple avec un score brillant.
Aussitôt à la tête de la magistrature suprême de l’Etat, Touadéra a fait preuve d’homme d’Etat qui respecte sa parole et les faits réalisés témoignent en cinq ans, dépassent ce que ses prédécesseurs n’ont pu faire durant leur passage à la tête du pays.
Pour continuer l’œuvre positif, le peuple a décidé encore de donner un quitus au président Touadéra lors de la présidentielle de 2020. Un coup K.O dès le premier tour qui démontre que Touadéra est l’homme de la situation et le pays doit son émergence qu’avec ce qu’il continue de le faire abondamment dans tous les domaines.
Dans quel pays qui fait face aux menaces sécuritaires qu’il faut caresser les auteurs des violences commises sur les paisibles populations ? Aucunement. Un homme d’Etat africain de son vivant a bien dit que, pour mieux gouverner un pays, il faut toujours la carotte et le bâton. Touadéra a toujours tendu ses mains à ceux qu’ils veulent vraiment du vrai développement de la RCA.
Alors que ses opposants politiques et les rebelles qui tuent, pillent, violent…pensent que ce dernier est un ingénieux voire un amateur en politique le premier citoyen centrafricain fait son bonhomme de chemin en matière de développement.
Face aux faits qui sont en accomplissement, ces éternels opposants politiques et chefs rebelles veulent à tout prix le chasser du pouvoir et de déstabiliser les institutions de la République.
« Nous sommes à l’ère de la démocratie. Le pouvoir n’est pas celui de faire couler le sang du peuple afin d’accéder à la magistrature suprême de l’Etat. C’est la volonté du peuple qui doit être manifestée et tout doit se passer dans les urnes », tel est l’extrait de la déclaration du président Touadéra à Boali. Est-ce que ceux qui se disent des démocrates, notamment les membres de la COD-20 comprennent le sens de cette phrase ? Si ces derniers complotent avec les rebelles pour tuer tous les Centrafricains, qui, ils vont gouverner une fois arrivée au pouvoir ? C’est vraiment triste !
La déclaration de cessez-le-feu faite par le président Touadéra n’est pas un signe de faible ni de cessation de traque des groupes armés, ceux qui quittent l’APPR. On ne peut pas vivre dans une République et en même temps, lui faire du mal. C’est pour dire que le président Touadéra invite toujours tous ses compatriotes à faire que du bien pour le pays et celui des Centrafricains.
Toutes les voies sont tracées pour que les Centrafricains vivent en paix. Alors que certains politiciens qui sont de mèche avec les groupes armés, ne comptent pas que le pays puisse se stabiliser. Maintenant ce qu’il faut faire c’est la force qu’il faut utiliser. C’est dans ce sens que les FACA et leurs alliés russes et rwandais amplifient des opérations militaires sur toute l’étendue du territoire national afin de mettre hors d’état de nuire ces criminels.
La déclaration du président Touadéra faite à Boali cadre avec l’option voulue par son peuple. Les groupes armés ont une seule condition, celle de respecter l’APPR-RCA et de suivre le processus DDRR appuyé par les partenaires internationaux. Tous ceux qui veulent outrepasser cette exigence n’ont pas leur place dans le pays et c’est seule la justice qui doit s’occuper de leur cas.