« Poignée de pays » dont dépend le monde: Moscou répond à Erdogan sur le Conseil de sécurité de l’ONU

Après que le Président turc s’en est pris aux cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, Sergueï Lavrov a signalé que ces derniers n’étaient pas, en effet, habilités à dicter le destin de l’humanité. « Mais ils n’y prétendent pas », a-t-il ajouté.


Intervenant devant la presse à l’issue de la réunion annuelle du Club de discussion international Valdaï, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a commenté la diatribe du Président turc à l’encontre « d’une poignée de pays » au sein du Conseil de sécurité de l’Onu et définissant le destin de l’humanité.


« L’éloquence du Président Erdogan est notoire. Il s’exprime librement sur des sujets différents. Je suis d’accord avec lui sur le fait que cinq membres permanents du Conseil de sécurité n’ont pas le droit de dicter le sort du monde. Mais ils n’en disposent pas et n’y prétendent pas. Les cinq ne prétendent qu’aux compétences stipulées dans la Charte de l’ONU », a-t-il signalé.

Géopolitique

Komla
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Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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