À moins de trois mois pour obliger l’organisation sous-régionale, la CEDEAO à acter le départ des pays de l’AES, le président bissau-guinéen tente d’éteindre le feu, mais peine perdue.
En effet, le président bissau-guinéen, après avoir lamentablement échoué d’humilier le Mali quand il était le président en exercice de la CEDEAO et après avoir affirmé sa volonté d’engager un bataillon au compte de l’organisation pour bombarder le Niger après les évènements du 26 Juillet à Niamey se dirige maintenant vers le Burkina Faso pour tenter de négocier afin que les trois pays reviennent dans l’organisation instrumentalisée par l’Occident : CEDEAO.
Le capitaine Ibrahim Traoré a été catégorique : AUCUNE NÉGOCIATION N’EST POSSIBLE.
Rappel: Les pays de l’AES ont affirmé en toute souveraineté de quitter l’organisation le 28 Janvier 2024 au regard de son égarement et la violation de ses textes par elle-même à travers les sanctions illégales, illégitimes, irresponsables et inhumaines ( fermeture des frontières, blocage des avoirs des pays de l’AES et sa volonté de bombarder le Niger en Août 2023 ).
La CEDEAO sera obligée le 28 Janvier 2025, soit un an comme l’exigent les textes d’acter le départ des pays de l’AES.