« Affaire de cryptomonnaies, sans un minimum de formation, vous allez vous faire proprement arnaquer » dixit Assou Afanglo

Depuis un temps, une histoire de cryptomonnaie pilule sur les réseaux sociaux et surtout le continent sans oublier le Togo et qui fait des victimes. Dans une publication sur sa page Facebook, Assou Afanglo, journaliste attire l’attention de la population africaine surtout togolaise sur ce nouveau moyen de commerce. Selon lui, faire la cryptomonnaie, il faut suivre une formation surtout s’informer avant de se lancer dans le système.

« Je vais encore parler espérant que ça change quelque chose quelque part chez quelqu’un. Pour nos amis qui s’intéressent aux cryptomonnaies, machin et machine, pardon, informez-vous et formez-vous. Nous avons beaucoup de personnes prêtes à vous former. Si vous refusez de payer ce prix, vous allez vous faire proprement arnaquer. Même larme ne sortira pas de vos yeux. » a déclaré Assou Afanglo.

Si le togolais fait cette sortie c’est parce que des arnaqueurs font leurs apparitions, ils se positionnent comme les représentants de la maison de cryptomonnaie française, Coinhouse. Selon Assou Afanglo, cette entreprise française de cryptomonnaie n’a pas de représentants au Togo, ni en Afrique.

« Il y a une grosse entreprise française qui s’appelle Coinhouse et qui est devenue en 6 ans une plateforme incontournable d’échange de cryptomonnaies. Loin de leur faire la pub, j’attire l’attention des uns et des autres que cette entreprise n’a pas de représentations en Afrique. En tout cas, selon les échanges que j’ai eus avec elle, il n’y a pas de représentation ni au Togo ni en Afrique. « Coinhouse n’a pas de bureau au Togo et n’a aucun représentant officiel dans ce pays. Nous ne sommes basés qu’en France », m’ont répondu des responsables de cette entreprise. » indique le journaliste web et formateur

Assou Afanglo demande à la population africaine surtout celle togolaise d’être vigilante.

« Si vous voyez des gens exploiter ce nom à d’autres fins, méfiez-vous. Ils sont les seuls à savoir ce qu’ils cherchent en créant de beaux visuels et en recevant vos sous via mobile money. J’en ai été victime de par le passé. J’ai toutes les captures d’écran jusqu’à ce jour et même le nom et prénom de l’arnaqueur grâce au transfert flooz. » ajoute-t-il

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *