Algérie : Les médaillés des JO Paris 2024 accueillis par Tebboune

Les trois athlètes olympiques algériens, Kaylia Nemour, Imane Khelif et Djamel Sedjati, se sont distingués par de belles performances lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. Ces réussites ont valu à ces sportifs des récompenses financières conséquentes.

La gymnaste de 17 ans, Kaylia Nemour, spécialiste des barres asymétriques, s’est illustrée en décrochant une médaille d’or lors des JO de Paris. Ce résultat remarquable a confirmé son talent et son statut de figure montante de la gymnastique mondiale. La boxeuse Imane Khelif,ainsi que Djamel Sedjati, coureur de demi-fond, ont également marqué ces Jeux par leur victoire dans leurs disciplines respectives. Grâce à ces athlètes, le drapeau algérien a flotté haut dans les stades parisiens.

En reconnaissance de ces exploits sportifs, une cérémonie a été organisée par Sonatrach, la plus grande entreprise algérienne. Lors de cet événement, Sonatrach a octroyé une prime substantielle à chacun des médaillés, évaluée à 400 millions de centimes (environ 27 000 euros). Cette somme représente un soutien important pour les athlètes qui doivent faire face aux exigences d’un entraînement de haut niveau.

Parallèlement, le Comité Olympique algérien devra verser les primes des JO à chaque mediallé : 350 millions de centimes pour Kaylia Nemour et Imane Khelif, tandis que Djamel Sedjati va percevoir 120 millions de centimes.

Outre cette cérémonie, ces sportifs ont également été accueillis par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Cette rencontre au palais d’El Mouradia a souligné la volonté des autorités algériennes de célébrer et d’encourager les champions nationaux. Le président a profité de l’occasion pour rappeler l’impact positif que ces victoires ont sur l’image de l’Algérie à l’international.

DZ Ballon

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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