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Le paludisme, une maladie transmise par les moustiques, connaît une résurgence en Algérie, particulièrement dans les régions sud.
Bien que le pays ait été certifié sans paludisme en 2019, des cas récents soulèvent des inquiétudes concernant la gestion de cette maladie.
Les autorités sanitaires mettent en place des stratégies pour lutter contre cette réapparition, notamment en sensibilisant la population aux mesures préventives.
La prévention est essentielle pour limiter la propagation du paludisme. L’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide constitue une première ligne de défense efficace, réduisant le risque de piqûres pendant la nuit.
Les individus sont également encouragés à appliquer des répulsifs cutanés contenant des substances actives comme le DEET ou l’IR3535 et à porter des vêtements longs pour minimiser l’exposition.
De plus, la pulvérisation d’insecticides à l’intérieur des habitations aide à éliminer les moustiques et à créer un environnement plus sûr.
Les symptômes du paludisme sont variés et peuvent se manifester sous forme de maux de tête, de fièvre persistante, de fatigue soudaine, de frissons intenses et de sueurs nocturnes.
Reconnaître ces signes rapidement est crucial pour un diagnostic et un traitement appropriés. En dépit des défis, une vigilance accrue et des efforts de prévention peuvent contribuer à contrôler la situation du paludisme en Algérie.
Source Al-Ain France