Allemagne/Bayern: »Les dirigeants du Bayern ont informé Sadio Mané qu’ils ne comptaient plus sur lui » selon Kicker

Après avoir fixé son prix de vente à 20 millions d’euros, les dirigeants du Bayern ont pris leur courage à deux mains pour dire à Sadio Mané qu’ils ne comptaient plus véritablement sur lui la saison à venir selon Kicker.

Pourtant, j’avais vu venir en avertissant le numéro 10 des lions. Malheureusement, ce dernier trop têtu a fait une sortie à la télévision pour dire qu’il allait rester au Bayern.

Voilà ce qui arrive quand on refuse de voir la réalité en face. Sadio ne doit pas oublier qu’il a le plus gros salaire du club (22 millions d’euros annuel).

S’il a eu un tel émolument, c’est parce que le board du Bayern s’attendait à ce qu’il fasse plus que Lewandowski. Malheureusement, Sadio même bien avant sa blessure n’a pas répondu aux attentes.

De retour de blessure, la situation s’est envenimée car il n’arrive pas à retrouver son niveau d’antan.

Dans le haut niveau, il n’y a point de sentiments. L’exigence est à son paroxysme raison pour laquelle les dirigeants du Bayern ont jugé utile de se débarrasser de lui, eux qui sont à la recherche d’un numéro 09 traditionnel.

Il faut aussi noter que Sadio n’a pas été recruté en tant qu’ailier mais plutôt comme numéro 09.

Sadio aurait dû répondre favorablement, dès le début, au pont d’or que lui avait proposé Al Nassr. Maintenant que le club saoudien est interdit de recrutement, il lui sera très difficile d’avoir une offre similaire.

Des clubs comme le Barça, Newcasttle ou le PSG pourraient se positionner toutefois son salaire mirobolant pourrait constituer un obstacle.

Sadio a déjà tout gagné en Europe. Pourquoi vouloir donc se faire ridiculiser pour finalement sortir par la petite porte car rien ne lui garantit une place de titulaire dans ces clubs même s’il quitte le Bayern. Il aurait dû depuis le début être à l’écoute des clubs Saoudiens comme nous le lui avons suggéré. C’est dommage qu’il n’en fait qu’à sa tête.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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