Après le dialogue républicain, la RCA sera-t-elle dans la quiétude tant attendue ?


Il est bien de reconnaitre que la RCA traverse des moments difficiles qu’a traversés la Républicaine centrafricaine durant des années. Le peuple attend toujours après N dialogue la fin de l’histoire de la crise.

Certes, la souffrance a tant perduré après plus de 15 ans. Des Chefs se sont succédé à la magistrature suprême, des dialogues ont été organisés y compris des négociations mais le mal est que le pays traverse encore des moments difficiles car l’histoire l’a tant démontré.

Il est vrai que les paroles s’en vont mais les écrits restent. Tout ce que le pays a pu faire en terme d’efforts pour mettre fin à la guerre n’ont point abouti à une fin fiable mais après un moment donné, tout recommence comme si la RCA est maudite par le diable alors que la bénédiction est comme un moyen de sortir la RCA dans le trou.

On se souvient que les pays voisins de la sous régions ont contribué dans la résolution de la crise mais soyons sérieux entre nous centrafricains avant d’accuser les autres qui nous viennent en aide. La méchanceté des uns et des autres pousse le pays à s’enfoncer dans la boue alors qu’ailleurs, certaines personnes veulent aider leur pays à sortir de la crise pour une paix durable.

Nous osons croire que le dialogue qui se prépare en ce moment va mettre fin à la crise ? Cette question se résume dans la signature de l’Accord Politique de Paix et de Réconciliation paraphé à Khartoum et signé à Bangui le 06 février 2019 avec toutes les parties prenantes.

Au regard de tout ce qui se passe, il est claire de préciser que le malheur de la RCA repose sur les propres fils du pays qui sont profondément dans leur esprit égoïste et ne veulent rien faire pour aider le peuple. Laissant la latitude à celui qui en ce moment forge le peuple pour devenir des varis forgeront de demain.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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