Pour certains, c’est l’arrêt du noyau de la Terre, puis son redémarrage en sens inverse qui seraient la cause du séisme meurtrier ayant frappé la Turquie et la Syrie. Pour d’autres, ce sont les changements climatiques, etc.
De toutes ces explications, parfois foireuses, une seule est digne d’intérêt : celle qui a fait part des nuées d’oiseaux aux gazouillis tapageurs, en pleine nuit, au-dessus des zones touchées.
Ces observations corroborent les conclusions des Chinois : à la veille des séismes, les chiens s’excitent, les poules s’affolent dans les basses-cours, les chevaux ne tiennent pas dans les écuries et les oiseaux sortent de leur nid…
C’est ainsi qu’ils ont pu prévoir avec précision un tremblement de terre majeur en 1976 et sauvé beaucoup de vies humaines.
Comme il avait raison Jean de La Fontaine : «Je me sers des animaux pour instruire les hommes.»
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