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Le président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a déclaré avec conviction que le Burkina Faso a repris le contrôle de l’exploitation de ses ressources naturelles. « Nous avons à nouveau la main sur nos ressources naturelles », a affirmé le chef de l’État, marquant une étape importante dans la quête d’autosuffisance économique du pays.
Une exploitation minière portée par les Burkinabè
Le président a mis en lumière l’ambition nationale de valoriser les compétences locales pour extraire des ressources telles que l’or, l’argent et le cuivre. Il a expliqué que l’État découvre progressivement les expertises nécessaires pour exploiter ces richesses tout en soutenant activement les mines semi-mécanisées. « Très prochainement, des mines industrielles verront le jour grâce aux efforts des Burkinabè », a-t-il annoncé, renforçant l’idée d’une industrialisation portée par les talents locaux.
Une vision axée sur l’expertise locale
Le Capitaine Ibrahim Traoré a également souligné l’engagement de l’État à promouvoir et valoriser les compétences locales. Cette approche vise à garantir que les bénéfices issus de l’exploitation des ressources naturelles profitent directement aux populations burkinabè. En soutenant cette expertise, le Burkina Faso s’oriente vers une gestion plus équitable et durable de ses richesses minières.
Une promesse d’industrialisation et de prospérité
Cette stratégie marque un tournant dans l’économie burkinabè, avec une vision centrée sur la création de mines industrielles nationales. L’objectif est de transformer les ressources naturelles en moteurs de croissance, tout en favorisant l’emploi et le développement des infrastructures locales.
En affirmant la souveraineté du Burkina Faso sur ses ressources naturelles, le président Ibrahim Traoré appelle les citoyens à participer activement à cette transformation historique, ouvrant ainsi la voie à un avenir prometteur pour le pays.