« C’est la raison pour laquelle je ne suis pas allé en Arabie Saoudite » dixit Sergio Ramos

Sergio Ramos a refusé l’Arabie Saoudite et la Turquie pour faire son retour au FC Séville. Face à la presse espagnole, le défenseur a expliqué son choix.

Libre tout l’été après son départ du Paris Saint-Germain, Sergio Ramos a finalement trouvé un point de chute. Annoncé en Arabie Saoudite ou encore à Galatasaray, le défenseur espagnol a fait le choix de revenir à Séville, avec qui il s’est engagé ce lundi.

Interrogé par les médias du club lors d’une interview diffusée sur plusieurs télés espagnoles, le défenseur central de 37 ans a affirmé avoir vécu «une journée très spéciale, une des plus merveilleuses, car, au final, rentrer à la maison est très gratifiant, une journée pleine d’émotions» pour son retour en Andalousie. Avant de revenir sur les options concernant son avenir et une possibilité de rester au PSG. «J’ai eu l’opportunité de continuer à Paris, même pendant deux saisons de plus, mais je ne l’ai pas saisie», a-t-il expliqué, dans un entretien retranscrit par Marca.

Sergio Ramos explique le refus de l’Arabie Saoudite
Sollicité par plusieurs clubs turcs et également de l’Arabie Saoudite, Sergio Ramos a rejeté des offres de contrat allant de 11 à 20 millions d’euros, préférant rejoindre un club qui l’a particulièrement marqué : le FC Séville. Un choix qu’il a expliqué.

«J’ai toujours été une personne qui se laisse guider par ses impulsions, par son cœur, et je n’ai jamais été guidée par l’argent. Et ceux qui disent le contraire ne me connaissent pas. C’est pourquoi il n’était pas logique pour moi d’aller en Arabie saoudite, ni d’aller au MLS, ni d’aller ailleurs qu’ici. J’ai attendu, avec un brin d’espoir, et il est venu à la 93e minute», a ajouté l’ex-Parisien.

Un message fort pour celui qui va tenter désormais d’apporter son expérience au club Andalous. Pour rappel, Sergio Ramos va également disputer la Ligue des Champions. Le FC Séville, est logé dans le groupe B composé de Lens, d’Arsenal et du PSV Eindhoven.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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