» Chers parents, il ne faut pas oublier que les fêtes de fin d’année passent, les dettes restent » dixit Piou jean NATCHIPOU k.

Les moments de fêtes sont les périodes que tout le monde, surtout les pauvres aiment dépenser son économie pour prouver aux voisins, aux amis qu’ils sont financièrement en place. Certains compte tenu de leur situation, prêtent de l’argent, rien que pour la fête, au même les riches investissent pour réhausser lrurs chiffres d’affaires et redeviennent plus riche.

Dans un message sur sa page Linkedin, le professeur de l’université de Kara, conférencié Piou jean NATCHIPOU k. attire l’attention des parents par rapports aux dépenses ces moments de fêtes. Selon, on ne doit pas faire le suivisme pour tomber dans des dettes après les fêtes.

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 »Quand la fin d’année approche : Les riches investissent massivement pour devenir encore plus riche. Les pauvres dépensent tout le peu qu’ils ont pour faire croire aux autres pauvres qu’ils sont riches. Les riches produisent.Les pauvres consomment. N’essaie pas de faire raisonner un pauvre, il te dira que : « La vie est trop stressante, qu’il doit relaxer et se faire plaisir car on ne vit qu’une seule fois. » Les bars, les restaurants, les hôtels, les boîtes de nuit, les Lounges, etc. appartiennent aux riches où les pauvres iront contribué à leur évolution. Pendant ce temps des fêtes, on se rivalise pour voir qui va acheter le plus gros porc /bœuf… Qui va acheter les plus gros jouets et les plus beaux vêtements à ses enfants… Qui va offrir le plus de casier de bières et de bouteilles de vins/whiskys/champagne. Chers parents, il ne faut pas oublier que les fêtes de fin d’année passent, les dettes restent. Ne vas pas t’endetter pour faire une démonstration de force. Il n’y a rien de plus grave et plus triste que d’être un pauvre d’esprit, tous les maux commencent par là, le niveau de pauvreté d’un pays est aussi équivalent au niveau de pauvreté d’esprit et de mentalité des citoyens. » a indiqué Piou jean NATCHIPOU k sur sa page Linkedin

Soyons sages et changrons notre mentalité pour un avenir meilleur pour ne pas accuser qui que se soit après.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

2 commentaires

  1. j’ai remarqué que vous avez relayer un des message très percutant que j’avais publié l’an passé, je suis très ému et j’aimerais bien faire plus connaissance avec vous monsieur komlan AKPANRI

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