Chine ; China Engineers a construit un drone sous-marin semblable à des calmars qui se déplace sans lames et disparaît de sonar

Dans un laboratoire de recherche sur l’hydrodynamique du Guangdong, des ingénieurs chinois ont dévoilé un nouveau drone de surveillance sous-marine inspiré en partie des calmars. Cette machine n’a pas la forme d’un sous-sous-marin typique – il se déplace, se cache et réagit comme une créature en haute mer. L’idée était simple: arrêtez de forcer les machines dans l’eau, et au lieu de cela, laissez-les couler avec.

Nommé «Cephalobot», l’appareil est construit à l’aide d’une coque extérieure en silicone compressible qui imite la structure à corps doux des calmaards. Mais l’innovation réside dans la façon dont elle se déplace: pas d’hélices, pas de rotors qui tournent – au lieu de cela, il entre en eau dans sa chambre, son corps en interne et l’éjecte vers l’arrière pour faire avancer. Ce type de propulsion à réaction pulsée est identique à ce que les vraies calmars utilisent, ce qui en fait l’un des systèmes aquatiques les plus calmes jamais construits.

L’avantage? Quasi-invisibilité. Sans les lames de rotation, le drone n’émettait aucun bruit de cavitation, qui est ce qui détecte Whatar Sonar. Dans les essais en plein air, même les capteurs de qualité militaire ne pouvaient pas le retracer une fois qu’il est entré dans les eaux d’actes. Cephalobot peut accélérer rapidement, s’arrêter brusquement ou changer les directions avec une agilité inégalée – et il fait tout cela sans résister à l’eau.

Sa peau extérieure est incrustée de chromatophores – cellules artificielles qui ont ajouté une pigmentation sur les surfons. Cela permet au drone de correspondre à la couleur et à la lumière des récifs coralliens, des fond marins ou du champ rocheux. Ce n’est pas du camouflage de camouflage, de style nature.

Le drone est équipé de capteurs d’inspiration neuronale, de gyroscopes flexibles et de logiciels de navigation adaptative qui répond à la turbulence et au terrain sous-marin en temps réel. Les scientifiques marins ont commencé à l’utiliser pour suivre les espèces timides en haute mer, tandis que les équipes navales le testent comme un outil de reconnaissance furtif.

Avec cela, la Chine n’a pas seulement fait une machine. Ils ont créé une créature marine programmable – un robot qui ne se contente pas de nager dans l’eau, mais en fait partie.

Komla AKPANRI
Komla AKPANRI

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