Crise ukrainienne: voici les entreprises Tech qui ont fermées leurs portes en Russie

Suite à la guerre ukrainienne, les entreprises Tech, Les grands groupes américains et internationaux prennent de plus en plus leurs distances avec la Russie, et la liste s’allonge:

Microsoft a annoncé « suspendre ses nouvelles ventes en Russie », qu’il s’agisse de produits ou de services;

Airbnb a indiqué suspendre toutes ses opérations en Russie, par la voix de son fondateur, Brian Chesky;

Intel a fait savoir qu’il suspend toutes ses livraisons à ses clients en Russie. L’entreprise est spécialisée dans les microprocesseurs;

AMD, un concurrent d’Intel, a pris la même décision pour tous ses produits (cartes graphiques, microprocesseurs, mémoire flash…);

TikTok a lui aussi arrêté de montrer les « médias » d’État russes en Europe;

Snapchat a cessé toute publicité en Russie, en Biélorussie et en Ukraine, et précisé ne pas accepter de revenus provenant d’entités publiques russes ;

Samsung a aussi pris la décision de suspendre les expéditions de tous ses produits vers la Russie;

PayPal a adressé un courrier à Mykhailo Fedorov, le ministre ukrainien en charge du numérique, pour lui dire que PayPal ferme ses services en Russie à cause de la guerre en Ukraine;

Oracle, un géant des logiciels et services et un poids lourd du cloud a, dès le 2 mars, indiqué qu’il avait déjà « suspendu toutes ses opérations » en Russie;

SAP, société allemande spécialisée en informatique, a cessé ses activités en Russie; il a interrompu toutes les ventes de services et de produits SAP en Russie;

Netflix a décidé d’interrompre tous ses projets et acquisitions venant de Russie;

Spotify a fermé son bureau en Russie pour une durée indéterminée.

Deezer a acté l’arrêt de son service musical en Russie;

Le studio de jeux vidéo Electronic Arts a pris la décision d’arrêter la vente de ses jeux et contenus en Russie.

Que restera-t-il de la présence de la tech, notamment américaine, en Russie après la guerre lancée contre l’Ukraine?

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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