Le mandat d’arrêt délivré par la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du président russe Vladimir Poutine place l’Afrique du Sud dans une situation délicate, suscitant des tensions diplomatiques entre les pays membres des BRICS.
Cette alliance économique, composée du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud, fait face à un défi sans précédent en raison des implications juridiques et politiques de cette situation.
Selon Klein Reporters, l’Afrique du Sud, en tant que membre à part entière de la CPI et présidente actuelle des BRICS pour 2023, se trouve dans l’obligation d’arrêter Poutine s’il participe au sommet des BRICS, conformément à la tradition juridique des mandats d’arrêt internationaux. Cette perspective soulève de nombreuses questions quant à l’avenir des relations entre les pays membres des BRICS, ainsi qu’au rôle de la CPI sur la scène internationale.
Affaire à suivre