0076/HAAC/01-2023/pl/P
Nous tenons à vous signaler que ce témoignage est plein de révélations de solutions à certaines pratiques dont il est impossible pour nous de vérifier la véracité. Prière de le prendre plus comme une sensibilisation contre les cercles pern!c!eux et surtout, ne pas répéter les choses que vous y trouverez croyant pouvoir trouver satisfaction.
« Bonjour VC, j’ai longtemps hésité avant de vous écrire; je voulais me rassurer que vous étiez une page sérieuse, donc aujourd’hui je me sens prête à vous révéler le poids du secret familiale qui me pèse sur mes épaules.
Tous les 14 Février dans notre village, a lieu une réunion familiale au milieu de laquelle nous consommons la viande du chien, peut-être tes abonnés de la même tribu vont savoir de quel village je parle. Le 14 février 2010 je n’ai pas pu être présente au village car ma maman était gravement souffrante, et était retenue à la maison donc il fallait qu’une personne veille sur elle. Mon papa avait dit que concernant les frais des soins, il s’en occuperait même si c’est à distance.
Deux jours après leur départ pour le village il y a mon grand frère qui revient, l’ainé de la famille; nous étions surprises de le voir il nous dit que c’est le bureau qui l’avait appelé de toute urgence mais il voulait d’abord passer voir si maman allait mieux. Nous avons causé un peu puis je les ai laissés seuls dans le salon et je suis allée me doucher. Vérités Chocs quand je sors des toilettes pour ma chambre, mon grand frère vient pousser ma porte et referme derrière lui, tout en panique et il me dit: « petite soeur sauve ma vie, je suis coincé, sauve ma vie »! Je rattache vite mon pagne je lui demande ce qu’il voulait me dire et qui ne pouvait pas attendre que je m’habille, il me dit qu’on l’a piégé; il est entré dans une confrérie où on lui impose certaines conditions qu’il ne peut pas tenir.
J’étais paralysée de peur et les questions que je lui pose sur le coup, c’est qui sont ces personnes qui t’ont piégé et de quelles conditions il était question ? Il me dit que c’est le nouveau collègue avec qui on le voyait traîner depuis novembre de l’année précédente. Il se met à pleurer et me dit que toutes les fois où il disait partir en mission, c’était un moyen pour lui de se retrouver avec ce collègue et une autre bande de gars, pour passer du bon temps. C’est une vie qui lui plaisait car il s’était trop donné dans les études, il a toujours été casanier, donc passer du temps avec ce collègue lui permettait de mieux gérer son équilibre émotionnel. C’est un matin au bureau que ce collègue va lui exposer un projet qu’il a trouvé louable. Il disait qu’il comptait créer une entreprise à caractère caritatif, pour constamment nourrir et vêtir les populations reculées du pays qui vivent dans la précarité. C’est un projet où les sponsors ne manquent jamais, et ça pouvait le rendre facilement milliardaire; et aussi vu qu’il était chrétien, c’était une forme de dîme pour lui. Mon grand frère a été marqué par sa sensibilité et va donc naïvement donner sa signature pour faire partir du projet, un projet qui n’était rien d’autre que du satanisme à l’état pur.
C’est lors d’un premier voyage dans le sud du Cameroun qu’il s’est rendu compte de la forfaiture; il dit que les gars l’ont amené dans une salle où il y avait de la chaire humaine à consommer. Ils n’ont même pas été foutus de masquer certaines parties du corps humain; il pouvait bien voir les doigts de la main d’une personne, et même le sexe. Quand il s’est indigné et a voulu partir, il dit que tous les chemins qu’il empruntait le ramenait toujours où le groupe était; il dit avoir tourné surplace pendant 3 heures de temps avant de retourner les voir et leur demander ce qu’il fallait faire pour rentrer chez lui, on lui a dit « Mon gars tu vas seulement manger, tu as donné ta signature, donc mange puis on rentre en paix », il l’a fait.
La deuxième fois quand son collègue lui a dit qu’ils avaient rendez-vous dans un autre village, il a dit qu’il ne partait pas, son ami lui a seulement dit que quand tu vas te décider il faut m’appeler je vais décrocher. Mon frère ne comprenait pas ce qu’il voulait par là dire, c’est 2 heures de temps après qu’il a commencé à ressentir très mal à la tête, il dit que cette douleur, sur une échelle de 0 à 10, pouvait être à 10. C’était insupportable au point où il s’est senti obligé d’appeler son collègue pour lui demander l’itinéraire, on lui a dit de prendre la route pour Dschang, qui était le prochain lieu de consommation de la chaire humaine.
Il dit que lorsqu’il prenait la route son mal s’est estompé jusqu’à finir. Le groupe le contrôlait déjà mystiquement, et surplace lorsqu’il va demander à un membre du groupe comment est-ce qu’ils ont fait pour lui lancer les céphalées, il a fait semblant de ne pas comprendre ce que mon frère lui demandait, mais VC mon frère n’était pas au bout de ses surprises. C’est dans la ville de Dschang qu’on lui a remis son petit livre de 13 pages, avec une première de couverture plutôt énigmatique et de couleur noire, sur laquelle était inscrit une sorte de verset, en hommage à l’entité qui est à la tête de leur cercle. Le texte était écrit en rouge. Il me dit que le livre contenait des poèmes à réciter pour invoquer l’entité en question : une femme aux longs cheveux noirs qui lorsqu’elle apparaissait, effectuait une chorégraphie en bougeant son corps comme un reptile, et ce pendant qu’on l’applaudit au rythme de ses pas de danse. Il dit qu’au début il n’y croyait pas jusqu’à ce qu’il la voit de ses propre yeux, et c’est lorsqu’il y a un nouveau membre dans la confrérie qu’ils ont le droit de l’invoquer en groupe, sinon, chaque membre a son jour où on l’invoque individuellement. Au bout de 3 minutes quand elle a fini de danser, elle leur a dit que la paix soit avec eux. Elle souhaite la bienvenue au nouveau et s’en va.
Tellement j’étais concentrée sur son récit que l’eau a séché sur moi sans que je ne m’en rende compte; c’est quand ma mère sollicitait ma présence dans le salon car sa perfusion était déjà finie, que je me suis rappelée qu’il fallait que je me rhabille. Auprès de ma maman, mes gestes étaient si maladroits qu’elle m’a demandé ce qui n’allait pas; je l’ai rassurée qu’il n’y avait rien, Dieu merci elle n’avait pas besoin de se douter que quelque chose de louche se passait dans la chambre avec mon grand frère, donc quand j’ai fini de la gérer je suis aussitôt retournée voir mon frère dans ma chambre. Je lui ai demandé s’il avait déjà invoqué cette femme et pour quelle raison? Il me dit qu’il fallait l’invoquer pour qu’elle prenne un peu d’énergie des autres personnes présentes dans la pièce avec lui. J’étais scandalisée, je lui ai demandé plus de détails, il me dit que la première fois il l’a invoqué dans sa chambre conjugale quand sa femme dormait, quand l’entité a fini de danser, ils ont couché ensemble avant qu’elle ne parte. Le matin sa femme avait de la difficulté à se lever du lit, et même cette journée là elle n’avait pas préparé car elle se plaignait de la fatigue. Et les instructions recommandaient que chaque membre avait un jour spéciale pour invoquer la femme, pour mon frère c’était le vendredi, et je me rappelle très bien il y a un vendredi où j’étais de passage chez lui, sa femme avait une mine de malade !
VC j’avais encore espoir qu’il me dise que c’est une mauvaise blague, mais qu’il m’a avoué que c’était lui le responsable de la morrt de mon neveu qui était de passage chez lui : je me suis urinée dessus. Et dire que jusqu’à présent ma soeur pleure son enfant qui était mystérieusement morrt dans la chambre chez mon frère. Quand vous causez avec elle, elle ne peut dire une phrase sans placer le nom de son fils; elle pense qu’il aurait été un grand homme aujourd’hui, elle n’a jamais su que c’est notre grand frère qui l’avait tué. Mon frère pleure et me dit qu’il y avait un deal, si pendant l’invocation cette femme apparaissait, elle allait juste sucer l’énergie d’une autre personne présente dans la pièce, par contre si elle ne venait pas, il devait faire un sacrifice, c’était le même deal pour chaque membre de la confrérie.
Je lui ai demandé le nombre de personne qu’il avait déjà tué et ce que ça lui rapportait? Il me dit 4 personnes seulement; les autres n’étaient pas de notre famille, plutôt de la famille de sa femme, et juste apres un rituel de sacrifice il recevait un virement bancaire, et je vous confirme que mon frère était vraiment riche.
Maintenant je lui ai demandé comment est-ce que je pouvais l’aider, il me dit qu’il est discrètement allé voir un initié qui lui a dit que l’inceste pouvait l’aider à sortir de ce milieu, donc il fallait qu’on couche ensemble. Mon cœur battait la chamade, je lui ai dit qu’il était fou et ne savait pas de quoi est-ce qu’il parlait, il me dit si. Car l’initié lui a fait comprendre qu’il y’a des choses que lui-même ne savait pas, par exemple il pensait que lorsqu’il c0uchait avec cette femme elle ne prenait que les énergies des autres personnes, pourtant même pour lui aussi on prenait mais à faible quantité. La preuve qu’elle suçait aussi leurs énergies, c’est quand l’initié lui a demandé de regarder ses images précédentes et de comparer avec les nouvelles, il s’est rendu compte qu’il avait un vieillissement accéléré, il avait l’air d’un vieux père pourtant il n’avait que 33 ans ! L’initié lui a donc dit que les gémissements d’une de ses soeurs et le liquide séminale sur son sexe devait contrer cette femme et les attaques que les supérieurs du groupe pouvaient lui faire; ça devait donc facilité la tâche à l’initié pour mieux travailler sur lui, pour qu’il sorte de ce cercle une bonne fois pour toute. Si j’acceptais de coucher avec lui, il ne devait pas se doucher juste après, et on devait le faire sur le cours de 7 jours
J’ai demandé à mon frère pourquoi moi, et qu’est-ce qui me garantissait que ce n’était pas une condition pour me vendre moi aussi? Il est allé prendre un format sur ma table et s’est mis à rédiger un texte dans lequel il reconnaît avoir couché avec moi, et que s’il m’arrivait quelque chose de mal il se dénoncerait comme étant le responsable, il a mis sa signature et ses différents codes bancaire que lui seul savait, il m’a dit de garder le papier avec moi car celà devait m’aider à le dénoncer à la police ou même chez n’importe qui; il m’a aussi dit qu’on pouvait d’abord aller voir l’initié pour qu’il me confirme des dires; chose qui a été faite et juste après VC, j’ai c0uché avec mon frère.
J’ai couché avec lui sur le cours d’une semaine comme il était convenu. Ce n’était pas agréable car jamais je n’ai réussi à m’y habituer. Lui-même n’était pas heureux, mais nous avons pu le faire. Il ne se douchait pas bien après, mais les jours qui ont suivi son visage était redevenu rayonnant, il avait rajeuni et se sentait beaucoup mieux. Je n’étais pas tellement traumatisée car lui même pleurait à chaudes larmes après nos rapports. C’est sa sincérité qui m’a poussée à l’aider mais je lui ai dit que je savais trop de chose sur lui, bien-sûr nous avons couché ensemble mais je ne pouvais pas totalement être sa complice, car j’étais au courant qu’il avait tué mon neveu. Je lui ai dit que je voulais voyager, je voulais quitter le pays pour vivre loin de ma soeur, il avait les moyens pour le faire alors il m’a envoyée en France. C’est ici que j’ai pu fonder ma famille, et c’est l’une des raisons pour laquelle je n’ai plus jamais remis les pieds au pays. Ma mère même était finalement décédée quand j’étais à ma 3e année en France, mais je n’ai pas assisté au deuil. Vous parlez de ce problème m’apaise énormément; ma famille n’est pas très réseaux sociaux et ne squatte que sur whatsapp. Je suis persuadée qu’aucun d’eux ne verra ce message si vous me publiez. »
