Alors que le football espagnol réclame la démission du président de la RFEF, Luis Rubiales, suite à son baiser sans consentement avec Jenni Hermoso, l’attaquante espagnole s’en amuse. Mercredi, un communiqué a été publié par le syndicat FUTPRO, qui a déclaré que la joueuse espagnole s’en remettait à eux et qu’ils poursuivraient Rubiales en justice.
Pendant ce temps, Hermoso est à Ibiza. La joueuse de 33 ans et ses coéquipières se défoulent après la Coupe du monde et ont affiché sur leur jambe un tatouage portant l’inscription « NoHayVeranoSinBeso » « Il n’y a pas d’été sans baiser ».
Le contexte est assez complexe. Hermoso est l’une de ses coéquipières à avoir posté une photo de ces tatouages temporaires, qui se rapportent à une station balnéaire appelée Beso Beach à Formentera – sans doute quelque chose que l’on donne aux clients à leur arrivée. Parmi les autres coéquipières de Jenni Hermoso qui ont posté des photos de leurs tatouages, on trouve Alexia Putellas, Ona Batlle, Teresa Abelleira et Cata Coll.
Mardi, l’équipe d’Espagne a été accueillie par le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, mais elle s’amuse maintenant après un mois sans doute intense. La RFEF avait promis que les joueuses seraient autorisés à faire la fête à Ibiza après avoir remporté la Coupe du monde. Il est à espérer que l’équipe d’Espagne est désormais à l’abri de la tempête médiatique et qu’elle se réjouit à juste titre de son titre de championne du monde.
