La Russie très acclamée en Centrafrique à cause de son engagement à défendre le pays

Pays communiste, la Russie se présente en Afrique, précisément en Centrafrique, comme un véritable défenseur du Peuple et de l’espoir pour un réel développement .

En moins d’une campagne de Six à Huit mois, la Russie a tranché la question sécuritaire qui a versé l’encre du Gouvernement Centrafricain pendant plusieurs décennies .

En effet, la décision lors de son premier mandat de faire sécuriser son Peuple, le Président de la République Faustin Archange Touadera a fait son calcul sur un point :

Comment gouverner un pays sans une armée forte ?

A ce niveau , toute la stratégie a été mise en place de demander l’aide de la France pour réformer et doter les Forces armées Centrafricaines FACA mais il y’avait une réponse négative de la part de cette dernière .

Cette attitude versatile d’un pays ami, qui a refusé d’apporter son aide à un autre en difficulté, a amené le Leader Centrafricain de se rapprocher de son homologue Russe qui, à son tour, était plus familier et humain à cause des conditions les plus déplorables que le Peuple centrafricain vit pendant plusieurs décennies.

Aujourd’hui, cette familiarité a solidifié les bons rapports entre l’armée Russe et l’armée Centrafricaine . Cette dernière a retrouvé son blason et de son influence en capacité de nuisance contre les forces non conventionnelles.

C’est un véritable tournant décisif et de non retour entre la Russie et la République Centrafricaine car le Peuple a choisi juste les Russes pour les acclamer de faire leur éloge partout où on passe en Centrafrique .

Ceci s’explique par le fait que la campagne contre les Rebelles ne peut que cesser lorsqu’il n’y aura plus de CPC ou des Rebelles en Centrafrique .

Vive l’armée Russe pour que vive l’armée Centrafricaine

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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