”L’amour pour l’argent facile tue” dixit Katérine, une ivoirienne

''Tout ce qui brille n’est pas de l’or'' dit-on un adage africain. Katérine vit une vie de bourgeoisie, mais n'est pas heureuse car son

”Tout ce qui brille n’est pas de l’or” dit-on un adage africain. Katérine vit une vie de bourgeoisie, mais n’est pas heureuse car son mari est un serpent.

Voici sa révélation

”Je me nomme KATERINE, ivoirienne de nationalité mais je vis présentement au Congo-Brazzaville avec mon mari qui lui est originaire du Congo. Mon histoire remonte au jour où j’ai fait la rencontre de mon mari MAKOKO, un homme d’affaire veuf qui venait parfois sur Abidjan pour des affaires.

Ce soir-là, comme tous les week-end je me retrouvais en boite avec des amis. Nous étions assis à faire la fête lorsque mes yeux tombes sur MAKOKO, assit en face de moi, dont les yeux ne cessaient de me mater.

Lorsque je revenais des toillettes après avoir finir de me soulager, je tombe sur MAKOKO qui s’adresse à moi en gentlemen, il m’invita à rejoindre sa table sans résistance de ma part car j’avoue que c’est un homme beau et élégant, et je ne pouvais résister à son charme et à l’odeur de son parfum qui m’avait envouté en une seule fraction de seconde.

Nous avons échangé jusqu‘à trois heures du matin. MAKOKO est du genre bavard, c’est ce genre de personne qui t’enveloppe avec de belle parole au point que tu ne vois pas le temps passer.

Lorsque je décidais de rentrer, il me proposa de me déposer à mon domicile et vu l’heure à laquelle nous avons quitté le bar, je ne pouvais refuser. Il me déposa devant ma porte en me remettant sa carte de visite.

Quatre jours passèrent sans que je ne le contacte mais fut ma grande surprise lorsque ce soir-là, je reçois un appel de MAKOKO. J’étais sous le choc car je ne me souvenais pas lui avoir communiqué mon numéro.

Il a essayé de savoir pourquoi je ne l’ai pas contacté mais j’ai trouvé un prétexte palpable et nous avons programmé un rendez-vous puisqu’il devrait retourner sur Brazzaville car son séjour tirait à sa fin.

Nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre et je suis tombé amoureuse de lui. Il passait chaque fin du mois sur Abidjan rien que pour passer du temps avec moi.

MAKOKO était différent des hommes qui après quelques mois de courtoisie veulent coucher avec toi. Il m’a promis le faire seulement qu’une fois que nous nous marierons car sa religion l’interdisait d’avoir des relations avant le mariage.

J’étais très heureuse d’avoir un homme comme lui, beau, riche respectueux et contrairement aux autres, a voulu avoir des relations avec moi une fois mariée. Après huit mois de relation, MAKOKO à rencontrer mes parents et nous nous somme marier le mois suivant et avons aménagé chez lui au Congo.

Cette nuit de noce, je ne pouvais pas imaginer que mon époux me laisserait toute seule dans la chambre pour dormir dans une autre chambre, j’en revenais pas, j’étais très en colère contre lui mais j’ai essayé de me calmer tout en pensant que demain serait la bonne.

Tard dans la nuit, je me réveille pour les toilette, MAKOKO était couché près de moi profondément endormir. À mon retour des toilettes, je me glisse sous son drap, je ne pouvais m’empêcher de crier car mon mari était couché moitié homme moitié serpent tel sur l’image d’illustration.

Je tremblais sur moi car je n’avais jamais vu une telle chose de mes propres yeux, et même si quelqu’un me le racontait, je ne croirais pas, mais là, je n’en revenais pas, au point que je puisse m’évanouir.

À mon réveil, il était déjà matin, MAKOKO m’a fait savoir que chaque nuit c’est pareil, il tient sa fortune d’une confrérie et qu’il ne devrait pas avoir de relation sexuelle avec aucune femme et que son épouse aussi ne devrait pas le tromper et si cela arrivait, elle mourait.

Ce qui était le cas de sa défunte épouse. Mon Homme n’est pas un humain et je vis malheureuse depuis cinq mois déjà. Je ne sais pas quoi faire.

Quel conseil à donner et quel leçon à tirer ?

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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