De nos jours, plusieurs jeunes s’adonnent à la vie c’est -à-dire aller dans les bars, mangé ce l’on veut surtout dépensé de l’argent.
Un jeune burkinabé dont le nom est Jean Pierre Kaboré raconte sa mésaventure par rapport à la vie qu’il a mené lorsqu’il a de l’argent. Selon lui, il a passé sa vie dans les maquis, dans les bars surtout de pays en pays. Aujourd’hui monsieur Kaboré regrette amèrement la vie de plaisir qu’il a passé entre temps.
«Aujourd’hui je regrette, le fameux poulet flambé, poulet braisé, poulet au ra bilé, à l’ail, poulet soumbala… à la Burkinabé ou le Poisson braisé à l’ivoirienne bien arrosé de six bières chaque jours ont détruit ma vie au Faso.» déclare le monsieur Kaboré.
Aujourd’hui, Monsieur Kaboré conseil les jeunes générations à ne pas emboîté son pas. Selon lui, si ce n’est pas cette vie de loisirs, il devait être dans sa propre cour, maison.
«J’aurais dû être dans ma propre cour mais hélas toujours en location. Ne faites pas comme moi les générations futures. L’argent qui est rentré dans mon ventre équivaut à 2 villas meublées plus piscine et un vigile assis devant la porte. A bon entendeur, salut» ajoute Monsieur Kaboré