La mutuelle des universités du Togo encore appeleé MUTO, créée depuis juillet 1990, traverse depuis bientôt deux (2) ans une crise sans précédent. Cette crise est alimentée et savamment orchestrée par le Vice-président M. EDOUH.
Le Vice-président M. EDOUH, après l’échec cuisant de le leur projet de destruction de la prestigieuse mutuelle, s’acharne à nuire aux intérêts des mutualistes.
Dans un premier temps, alors que le Conseil d’Administration s’évertue à diminuer le taux des prêts aux mutualistes, le destructeur de la MUTO, le Vice Président EDOUH a, sans aucun mandat légal ou statutaire du Conseil d’Administration, adressé clandestinement un courrier à la banque, enjoignant la Banque de bloquer les prêts aux mutualistes (Voir la lettre ci-dessous reproduite). C’est une pure méchanceté et insensibilité à l’endroit des mutualistes et de vie chère qui sévit actuellement sur la terre de nos aïeux.
Non seulement EDOUH et sa complice Mme Gnassa refuse de signer les chèques des mutualistes de Kara pour faire croire que l’institution ne fonctionne pas normalement, il se permet d’attaquer les intérêts des mutualistes en s’opposant à leurs prêts immobiliers afin que la Banque refuse de consentir le prêt à la MUTO. Manifestement, le Vice-président est contre les intérêts des mutualistes. Il faut être sans cœur et égoïste pour agir contre les intérêts des mutualistes.
Ce comportement annihiste des intérêts légimes des mutualistes fait suite à la décision du Ministre interdisant la scission orchestrée par le Vice Président, Monsieur EDOUH. Décidément, depuis son arrivée au CA, il est acharné à la destruction de la MUTO, ne s’est jamais désarmé de son envie d’anéantir la MUTO.
En effet, le vice-président, a mené de bout en bout, machiavéliquement le projet de « scission », pour dire autrement le projet d’ anéantissement et de destruction de la MUTO.
Heureusement, le Ministre de l’Economie et des Finances, Ministre de tutelle, lui a opposé une ferme fin de non recevoir. Il faut saluer la sagesse du Ministre qui au moins a compris qu’on peut pas s’asseoir sur une branche et la scier, sauf intention malveillante de nuire à l’institution.
Il est évident que EDOU est un artisan de la destruction de la MUTO et il est important que les mutualistes soient informés. L’assemblée doit décider de son sort. On ne saurait s’asseoir sur une branche et la scier.
