L’Agence américaine de défense antimissile a terminé l’installation des réseaux de radars et la finalisation de la construction militaire du radar de discrimination à longue portée (LRDR) à Clear Air Force Station, en Alaska.
Le radar sera intégré au système de défense au sol à mi-parcours (GMD) et au système de commandement et de contrôle, de gestion de combat et de communications (C2BMC) en 2022. L’acceptation opérationnelle officielle par l’US Air Force est attendue en 2023.
Agence américaine de défense antimissile a terminé l’installation des réseaux de radars et la finalisation de la construction militaire du radar de discrimination à longue portée (LRDR). Le radar a été installé à Clear Air Force Station, en Alaska. Le radar sera intégré au système de défense au sol à mi-parcours (GMD) et au système de commandement et de contrôle, de gestion de combat et de communications (C2BMC) en 2022. L’acceptation opérationnelle officielle par l’US Air Force est attendue en 2023.Selon une déclaration du MDA, une fois « pleinement opérationnel, le LRDR offrira une capacité inégalée de rechercher et de suivre simultanément plusieurs petits objets, y compris toutes les classes de missiles balistiques, à de très longues portées, en fonctionnement continu ».
« Sa capacité de discrimination lui permettra d’identifier les objets mortels, tels que les ogives ennemies, et de les différencier des leurres non mortels. » Le LRDR fabriqué par Lockheed Martin aidera à conserver le nombre d’intercepteurs du système de défense au sol à mi-parcours (GMD) utilisés pour les engagements de menace et sera également en mesure de gérer les missiles hypersoniques dans les configurations futures, selon le communiqué.
Le GMD est conçu pour protéger les États-Unis continentaux contre les menaces potentielles de missiles balistiques intercontinentaux de la Corée du Nord et de l’Iran,