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Après la détection de ce drone espion, l’état-major a envisagé de l’abattre, mais le président a demandé de vérifier d’abord son origine.
À première vue, l’appareil semblait appartenir à un pays ami, mais après avoir contacté son président, celui-ci a nié toute responsabilité, selon AES Info.
Des enquêtes plus poussées ont montré que le drone venait d’un pays voisin qui n’est pas amical envers les pays de l’AES, mais qu’il avait décollé depuis ce pays pour brouiller les pistes.
Assimi Goïta a pris les mesures de défense nécessaires pour éviter que cette situation ne se reproduise à l’avenir.