Putschs en Centrafrique : quatre légionnaires français dans un plan machiavélique d’assassinat du président Touadéra

La Polie centrafricaine a encore frappé en prenant main dans le sac quatre légionnaires français dans un plan machiavélique d’assassinat du président Touadéra


La situation sécuritaire de la République centrafricaine devient de plus en plus complexe avec les tentatives de putschs orchestrés par les Français qui sont déterminés d’en découdre avec le président Faustin Archange Touadéra depuis sa décision de renouer avec la Russie. La vigilance du Directeur Général de la Police Bienvenue ZOKOUE Vient encore sauver le pays du pire.


Selon une source digne de foi, tout a été planifié depuis la base logique française située à M’Poko en complicité avec la Minusca où ces véhicules étaient stationnés en attendant le grand jour pour mettre le pays à feu et à sang par l’assassinat du président de la République Faustin Archange Touadéra.


Que veut vraiment la France pour la Centrafrique ? Après le dossier d’un mercenaire français Remy Guignolo arrêté par la Police en avril 2021 vient le tour des quatre autres légionnaires masqués au sein de la Minusca et bien préparés pour les sales boulots qui sont communément appelés les COS Commandos des Opérations spéciales. Que font-ils au sein de la Minusca ?


Selon une source policière, tous les quatre légionnaires à bord d’un véhicule blindé et banalisé stationné à moins de 30 m du passage du cortège présidentiel étaient dans la logique d’en découdre avec le locataire du Palais de la Renaissance. La question posée par le commun des Centrafricains est de savoir si la Minusca utilise des mercenaires (légionnaires) en son sein ou encore des véhicules banalisées ?


L’heure est grave car, le même type de véhicule que le chef de l’Etat utilise est le même que ces criminels français ont utilisé pour éjecter le mathématicien de Boy-Rabe. Ces véhicules sont stationnés dans la base logistique française de M’Poko. Pour quel intérêt la France cherche à déstabiliser le régime de Bangui ? Uniquement à cause de la présence russe ? Pourquoi toujours la France dans tous les coups d’Etat dans ce pays ? Il sied de revoir la copie des relations avec ce pays et surtout le rôle que joue la Minusca.


Aujourd’hui, tout le monde comprend alors pour la mission onusienne présente en Centrafrique est dans l’impossibilité de mettre un terme à une longue période de crise militaro-politique dans ce pays. Autrement dit si la France n’influence-t-elle pas cette force onusienne de la paix, pourquoi ils ont les badges de la Minusca ? La France devient-elle au grand jour le mouroir de ce pays ?


Dans les documents saisis par les éléments des FSI, on retrouve les plans de la ville de Bangui, des armes Kalachnikovs bref, un arsenal de guerre de tout calibre du temps moderne pouvant mettre un terme à la vie du président Touadéra même dans une longue distance comme fut le cas avec Thomas SANKARA ou de l’enlèvement de Barthélémy Boganda.


Selon une autre source, les six autres qui ne sont pas encore dans les mailles des autorités compétentes sont les snipers. Cette tentative d’assassinat du président Touadéra survient en un moment où la politique française est décriée dans le pays et où la MINUSCA n’est plus en odeur de sainteté.


L’opération s’est rendue possible grâce à la vigilance de certains dignes fils du pays à l’instar de Bienvenue Zokoue après son retour de Kigali juste à quelques minutes de l’atterrissage du vol qui ramenait le président de la République.


Quelle honte pour un pays qui a toujours été considéré comme un partenaire pour la stabilité de ce pays et qui joue avec l’avenir des Centrafricains.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *