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RFI croit diffuser sur ses ondes des informations qui relèvent d’un scoop alors qu’en réalité, il s’agit du temps perdu à l’antenne avec des élucubrations du dévergondé Ephrem Ngonzo Yalike qui a toujours rêvé débarqué en occident par tous les moyens lugubres soient-ils même en vendant son âme au diable. C’est tout de même étonnant pour de si grands médias à la réputation internationale et dotés d’une expérience incontestable dans ce domaine de se servir des « papelards » de Yalike pour un soi-disant reportage d’enquêtes sur des persécutions subies par un journaliste en Centrafrique et une imaginaire campagne de désinformation russe.
Journaliste gombo n’ayant aucune expérience dans ce domaine, Ephrem Ngonzo Yalike l’a toujours été en donnant sa piètre prestation dans de petites rédactions en échange des subsides qui ne lui plaisaient guère comme il l’a indiqué sur les ondes de RFI jusqu’au jour où il tombe sur un bon patron russe. Désormais, il compte des billets de banque allant de 200 000 FCFA à 500 000 FCFA tout en léchant ses babines. Maintenant disposant d’une stature qui lui confère une certaine fréquentation, il est approché par des adversaires de la Russie pour lui faire miroiter des euros et un débarquement en France pour se mettre à table et cracher le morceau.
Voilà une aubaine pour ce Judas Iscariote qui avait trahi son Maître pour 30 sesterces. Une somme qui correspondrait aujourd’hui à peu près à 2 000 euros. Le sinistre Ephrem Ngonzo Yalike, lui aussi, n’a pas hésité un seul instant de trahir la nation qui a fait de lui ce qu’il est, même journaleux soit-il.
Mais ce qu’il faut retenir de cette trahison, c’est que Judas Iscariote aurait au final fait une mauvaise affaire, puisqu’il s’est finalement suicidé par pendaison. Jusqu’où iront la cupidité et la folie des hommes comme Ephrem Ngonzo Yalike ? A une fin honteuse.
Pour le peuple et les autorités centrafricaines, ces soi-disant « enquêtes des médias internationaux » constituent un non-évènement qui ne pourra jamais entamer les excellentes relations de coopération entre la Fédération de Russie et la République Centrafricaine. C’est peine perdue pour des médias qui se veulent crédibles.
Tout de même un conseil, celui de demander au supposé lanceur d’alerte du consortium Forbidden Stories, Ephrem Ngonzo Yalike, de se faire réinscrire dans un établissement scolaire français avec l’aide de ses mentors pour améliorer son usage de la langue de Molière.
Après quoi, il peut trahir ses protecteurs français aux clients les plus offrant.
