Les gens ne veulent pas de bonnes choses en Centrafrique. Là où les réformes se font pour la cause nationale, certaines personnes malintentionnées s’inscrivent cela sur un tableau noir. Le cas de Guy Eugène DEMBA doit faire exception à cette règle ! Lucide, courageux, intrépide, rigoureux, c’est le type de « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ». Qui dit le contraire ? Personne ne peut lever son seul doigt pour nous raconter un bla-bla.
Les profito-situationnistes qui cherchent les postes en plein midi avec une lampe-torche dans leurs poches, doivent espérer ailleurs, pays au niveau de la Haute Autorité chargée de la Bonne Gouvernance, une entité qui fait preuve de mérite durant sa première mandature. Tous les partenaires nationaux et internationaux ont vu et ont témoigné à vive voix que Guy Eugène DEMBA est un interlocuteur sérieux, crédible et efficace.
Il secoue les vieux cocotiers depuis des années, c’est-à-dire les maux qui minent la société centrafricaine un demi-siècle : vols, détournement, utilisation de l’Etat à des fins personnelles, détournements de véhicules, enrichissement rapide illicite, le tribalisme et l’injustice sociale, les maux qui minent la gouvernance et le développement exceptionnel de la RCA.
Guy Eugène DEMBA comme personne ne peut nous le démentir, a reçu le quitus, le feu vert, véritable boulevard des stars de la bonne gouvernance, de ses paires qui l’ont plébiscité, l’ont réélu par acclamation grâce à son rayonnement de son dynamisme qui honore la corporation à laquelle Guy Eugène DEMBA appartient.
C’est un signal très fort aux autres membres de la Haute Autorité Chargée de la Bonne Gouvernance (HABG). Qui pouvait croire qu’il y a en RCA des têtes aussi bien faites, des patriotes convaincus, des nationalistes qui, contre vents et marées, veulent faire bouger les lignes ? Il n’y a que nous, Centrafricains, qui allons bâtir notre pays avec des personnalités intègres. Guy Eugène DEMBA est parmi à comprendre les enjeux, la pertinence et la nécessité d’une bonne gouvernance dans un pays très largement en retard sur son développement. Guy Eugène DEMBA doit briser les tabous, démystifier la gouvernance et restaurer la transparence absolue.
Au sein d’une telle institution, il n’y a aucune place pour les bras cassés, les mafieux, les « chercher à manger », les vampires et les pirates institutionnelles. La RCA doit assumer son décollage économique ! Un mafieux c’est-à-dire quelqu’un qui a la moralité douteuse, exécrable, véritable « profito-situationniste », chasseur de prime peut-il prétendre la tête d’une telle institution ? Pour d’autres oiseaux de mauvais augures, « je suis MCU, donc tout m’est permis, tout est possible ou j’ai de l’argent, je peux acheter les consciences ».
Les pires ennemis de la gouvernance se cachent au sein du MCU alors que ce parti n’est pas créé pour les cons et les chercheurs des postes ou d’argent mais pour unir les populations centrafricaines du nord au sud et de l’est à l’ouest selon l’esprit du président Fondateur Faustin Archange Touadéra. Quand vous entrez en profondeur dans leur passé les ennemis du pays qui veulent trahir l’idéologie d’un grand parti rassembleur, trainent des tonnes de casseroles sales, des vraies immondices, des poubelles qui dégagent une odeur de caveaux. Ce sont des tombeaux blanchis à l’intérieur d’une odeur insupportable.
Les mafieux présentent le MCU comme un repaire de pirates financiers ce que condamne le Bureau politique surtout le Secrétaire Exécutif National le frère uni Simplice Mathieu Sarandji, un fidèle serviteur de la nation.
Cette période est définitivement révolue en RCA. Touadéra avec le record de longévité à la primature 5 ans a été élu puis réélu pour son intégrité, sa transparence et son sens de l’honneur ce n’est pas un hasard mais par un projet de société qui cadre avec le social des Centrafricains. Les Centrafricains l’ont vu, l’ont observé et l’on apprécié, c’est pourquoi ils ont porté leur modeste choix sur sa modeste personne.
Touadéra doit après le dialogue républicain, user du bâton que de la carotte ! La récréation a trop duré ! Au sein de l’actuel gouvernement, c’est la course au « l’enrichissement » et le désordre est le roi. Les détournements dépassent l’entendement humain, les vols, la mafia, des sommes d’argents sont perçues qui n’auraient dû l’être.
Les propos de Touadéra lors du conseil des Ministre inaugural, puis réitérés lors du gouvernement du Premier Ministre Moloua sont tombés dans les oreilles des sourds, et donc il a prêché dans le désert. Les mafieux ont peur et veulent se liguer contre son auguste personne. On ne change pas une équipe qui gagne avec des opportunistes, des vampires, des mafieux, des charlatans.
Guy Eugène Demba réélu brillamment par ses paires, doit retrouver son trône royal, si les membres de la HABG sont sérieux, sincères et logiques avec eux-mêmes, au lieu de faire un saut dans l’inconnu sans parachute. Il doit succéder à lui-même, puiqu’il est le président sortant qui a engrangé autant de satisfécits tant de haute autorité du pays, des partenaires nationaux et internationaux dans les grandes chancelleries.
Il faut surtout renforcer son pouvoir afin qu’il puisse ester en justice, trainer les mafieux devant la barre, les juger et les condamner. L’administration centrafricaine doit fonctionner comme l’aiguille d’une montre, à l’exemple de celle du Rwanda qui sont des africains comme nous, pourquoi leur pays est flamboyant, se développe à un rythme exponentiel, propre et bien urbanisé ? Les assassins économiques n’ont aucune chance avec l’intrépide Guy Eugène DEMBA !