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Ce n’est pas un secret de polichinelle de nos jours lorsqu’on fait référence à la vieille classe politique qui a donné une recette des coups d’Etat comme plat de moralité en dépit de la démocratisation du pays depuis les années 90 où le continent noir devrait entrer dans le cercle des grandes nations.
Le monde évolue et les mentalités changent. Mais cette classe politique est restée sur ses pointes des pieds voulant le pouvoir pour le pouvoir sans aucun préparatif de la chose. A qui donc la faute ?
Depuis très longtemps, la mauvaise gouvernance est au cœur des problématiques du développement économique de la RCA. Mais ce qui est sûr et certain, que cette situation à chaque fois, prétextant à tort ou à raison de nombreux coût d’Etat.
Qui par ailleurs, occasionne à chaque fois un changement de régime en Centrafrique. Tous les supposés hommes politiques Centrafricains, visiblement se rendent pas compte de la gravité, de l’orientation et de perte d’intégrité territoriale du Pays.
Leurs préoccupations « le pouvoir », utilise tous les moyens possibles, en saisissant à chaque fois les occasions moderne de la communication, afin de calomnier. Ce qui n’apportent aucune valeur ajoutée à la situation que travers le Pays.
Cette préoccupation s’est manifestée notamment depuis l’indépendance. La disparité est une évidence de plus importante dans les institutions Centrafricaines, les environnements politique quasiment despotiques, empiète sur la forme de la gouvernance dans laquelle une perte de souveraineté est exercée par une autorité unique ou un groupe restreint qui dispose d’un pouvoir absolu que sur une petite surface à « Bangui ». Dans l’arrière-pays le peuple survie, parce qu’ils ne sont pas gouverner.
La communauté internationale injecte, pour ne pas dire rase les murs laissés les champs libres aux groupes rebelles très souvent anarchiques autoritaires, arbitraire, oppressif, tyrannique, sur tous ceux qui lui sont soumis, c’est-à-dire le peuple, pillent, bardent au passage les richesses de notre Pays, avec la bénédiction de leurs alliés étrangers.
Cette préoccupation élargie tous les aspects à l’ordre du jour démocratique visant à promouvoir une base politique interne saine comme condition à une plus grande réussite des programmes de développement économique, afin de sortir le peuple dans cette asphyxie hors du temps par des politiciens à la ramasse sans vision politique et de la gouvernance.
La bonne gouvernance, concerne donc un renforcement des capacités « humaines et institutionnelles » pas des groupes des bras cassés. Les interactions entre les divers composants « social, économique, politique, administratif…» Tous les acteurs dans un pays représentant « l’Etat, les populations, les secteurs privés…»
L’Etat doit être aussi le garant des droits de l’Homme, droit à la vie, à la dignité humaine, lutte contre la torture ou les traitements inhumains ou dégradants, droits civiques et socio-économiques, de même qu’en matière de libertés publiques y compris la liberté syndicale et la liberté associative.
Les dirigeants du moment doivent se mettre en évidences, sortir dans l’immobiliste, autosuffisance dans leur qualité de dirigeant « Elus» afin de mieux s’organiser pour mieux lutter contre la corruption qui gangrène toutes les couches de la nation et jusqu’au plus haut sommet de l’Etat.
Il est temps de changer la donne pour faire entrer ce pays dans le concert et pour cela, notre vieille classe ne doit pas avoir honte de prendre la retraite politique.