Difficile de croire, mais c’est l’une des réalités centrafricaines. Depuis l’avènement du multipartisme en Centrafrique, les ambitions politiques de l’opposition ont été toujours un échec. Les raisons, parce que la classe politique de l’opposition ne milite que pour la souffrance et le maintien de la léthargie dans notre pays, faisant ainsi la volonté des néocolonialistes.
Ne disposant aucun plan sociopolitique pour le développement de leur compatriotes, les leaders de l’opposition marchent contre vents et marrées et ont un seul maitre-mot, la transition politique.
Aujourd’hui, face au déterminisme politique du Président de la République, Pr Faustin Archange Touadera qui les a battus deux fois, en 2016 et en 2020, les leaders du BRDC ou de COD-2020 de l’opposition inefficace, impopulaire, incapable de convaincre les électeurs, se lancent dans des invectives, des menaces de déstabilisation qui pourraient entrainer les violences communautaires sans précédents. Pourquoi ont-ils peur de laisser libre court au Peuple d’exprimer sa souveraineté ?
Sans commentaire, les leaders du BRDC savent tant bien que mal qu’ils ne peuvent rien faire face au détermine d’un Peuple meurtri dont ils les causes endogènes. Pour jauger leur popularité, allons seulement au référendum constitutionnel et c’est la fin qui justifierait le choix du Peuple souverain.