Dans un article intitulé : « GAMBOULA : Le receveur des douanes transforme le service en milice familiale », publié par Corbeau News de Centrafrique, le receveur des douanes de Gamboula Hamidou Amine a été vilipendé et accusé d’avoir recruté et placé aux barrières des auxiliaires de douanes, en flagrante violation d’un acte réglementaire, notamment un « Abdoulaye Dongo, dit Ndjoungba, ancien membre des anti-balaka ayant purgé une peine de trois ans à la prison de Bertoua au Cameroun pour des actes criminels, officie désormais comme auxiliaire en uniforme officiel de la douane », érigé en méthodes banales et légitimes des pratiques de détournements systématiques des recettes, et d’avoir détourné des uniformes officiels des douaniers et des armes de guerre. Pour échapper à l’attention de ses supérieurs hiérarchiques, selon le journaliste de CNC, le receveur des douanes de Gamboula aurait demandé à ses douze (12) auxiliaires, lors d’une mission de contrôle venue de Bangui, de ne pas se présenter à leurs lieux de services.
Sous réserve de réactions officielles de la direction générale de douanes et des droits indirects, des informations en notre possession et de sources proches des autorités politiques, administratives, policières et militaires dans la localité de Gamboula, ont révélé que c’est un stagiaire des douanes, répondant au nom de Bassala Jonathan qui serait à l’origine de ces inepties. Car, mécontent suite à une sanction pour indiscipline caractérisée vis-à-vis de son chef hiérarchique direct, il a décidé de traiter directement avec le receveur de Berbérati aux fins d’obtenir sa mutation de Gamboula à Berbérati. En effet, le chef de service des recettes de Berbérati est toujours en guéguerre avec son homologue de Gamboula depuis un certain temps à propos du dédouanement des matériels de transport et des machines destinées à l’exploitation forestière et minière. Ces informations prouvent à suffisance la mauvaise foi de ce dernier qui cherche toujours à semer du désordre au sein de la région douanière n°2.
A ces visiteurs du soir comme du jour, dans les restaurants, les bistrots, les motels et autour de tables toujours remplies de bouteilles de bière étrangère, fruit de ses méthodes de recours à des « indicateurs » pour extorquer de l’argent à de potentiels commerçants, l’éternel stagiaire des douanes Jonathan Bassala n’a qu’une seule phrasa à la bouche : « Saviez – vous que le receveur des douanes de Gamboula a transformé le service en milice familiale ? ”. C’est en ce termes que l’homme se met aux services des ennemis de la République, pour tenir des propos manifestement diffamatoires sur les réseaux sociaux, contre le receveur des douanes de Gamboula.
Monsieur Jonathan BASSALA qui n’est pas à sa première foi du genre à vilipender les autorités du pays sur les réseaux sociaux, vient de mentir une fois de plus pour l’intérêt machiavélique de ses mentors politiques. En faisant croire que le receveur des douanes Hamidou Amine transforme le service en milice familiale, utilise des Anti – Balaka comme auxiliaires de douanes et détient des uniformes des douaniers et des armes, l’éternel stagiaire s’en prend politiquement à ceux qui l’ont nommé à cet important poste de responsabilité et réclame, de ce fait, son limogeage pur et simple. C’est pour dire qu’une enquête minutieuse n’a pas été menée par un confrère durant trois semaines à Gamboula. C’est plutôt des racontars haineux, à buts politiques et visant à ternir l’image, l’honneur et la dignité du receveur des douanes de Gamboula, un digne fils du pays affecté dans la localité pour conduire avec patriotisme, zèle et intégrité sa mission en produisant des résultats probants en termes de recettes douanières.
En lisant l’article publié par ce Jonathan BASSALA sur le site CORBEAUNEWS et bien d’autres, nous comprenons aisément que c’est une campagne de dénigrement et de diffamation contre le Receveur des douanes de Gamboula. Ce propagandiste de fausse information est même passé le canal de certaines radios et des réseaux sociaux pour parvenir à ses fins.
C’est ici le lieu pour nous de dénoncer ce tapage médiatique de « dénigrement » dirigée contre la personne du Receveur des douanes de Gamboula, notamment sur les réseaux sociaux et qui, tout naturellement et tout légitimement, est de nature à appeler l’opinion publique à s’interroger sur les motifs inavoués d’une telle sortie. En soi, l’acte, selon lui, est un acte de diffamation, et comme tel, peut être apprécié comme un acte prémédité.
Pour finir, il faut remarquer que la liberté d’expression est démultipliée sur internet, car tous les internautes sont libres d’exprimer leurs idées. Cependant, c’est aussi un lieu où la diffamation, l’injure ou encore le dénigrement sont répandus. Il est alors important de s’arrêter sur la responsabilité des internautes publiant des injures, des propos diffamatoires ou encore des propos dénigrants.
Si l’Internet fait figure d’accélérateur de progrès, il n’en reste pas moins que ces différents réseaux sont susceptibles de favoriser certaines infractions et notamment les atteintes à la réputation, l’image, l’honneur et la dignité d’autrui. Nous appelons ici les autorités de la direction générale des Douanes à prendre des mesures pour ester dorénavant en justice les auteurs de ces diffamations et dénigrements à l’endroit de leurs agents.
Le droit permet donc de réprimer ces abus, même lorsqu’ils sont commis sur internet. La liberté d’expression n’est pas un droit absolu ; c’est pourquoi elle comporte de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer, comme l’injure, la diffamation ou encore le dénigrement.
Affaire à suivre…