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Le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Thierry Kamach, a fait entendre sa voix suite aux allégations trompeuses publiées par le média en ligne Letsunami.net. Cet article, intitulé « Centrafrique : Dossier Carbone – Thierry Kamach au cœur d’un scandale financier », a été catégoriquement dénoncé par le ministre comme un ensemble d’accusations sans fondement.
Dans sa déclaration, Kamach a tenu à clarifier qu’il n’existe aucun accord, protocole ou contrat entre la République Centrafricaine et la société mentionnée dans l’article. Il a insisté sur le fait que tous les projets liés au carbone en RCA sont conduits dans un cadre légal, rigoureux et transparent, sous l’égide du Gouvernement et de partenaires techniques de renom tels que le PNUD, la Banque mondiale et d’autres institutions internationales.
Le ministre a vivement rejeté les insinuations suggérant l’existence de « circuits d’argent opaques » ou de « financements politiques cachés », considérant ces affirmations comme diffamatoires et nuisibles. Il a également mis en lumière son attachement à la République Centrafricaine, affirmant sa fierté d’être Centrafricain, né à Bangui, et ayant servi son pays au sein de plusieurs gouvernements. Kamach a souligné que la République ne doit pas être fragmentée selon l’origine mais doit s’appuyer sur des valeurs telles que la compétence, la loyauté et l’unité nationale.
Cette offensive médiatique, selon lui, a pour but de déstabiliser le Gouvernement et d’entraver le progrès du pays vers une souveraineté environnementale. Il a rappelé que le peuple centrafricain est conscient des véritables enjeux et des manipulations en cours.
Enfin, Thierry Kamach a annoncé qu’il envisage de porter des actions judiciaires contre les auteurs et diffuseurs de ces mensonges, pour diffamation et propagation de fausses informations. Il a remercié ceux qui lui ont témoigné leur confiance et leur soutien, affirmant que la République Centrafricaine ne se laissera pas distraire par des manœuvres politiciennes. Son engagement envers la protection des ressources naturelles et le développement durable reste intact, avec une vision claire pour un avenir prospère et durable pour le peuple centrafricain.
