Santé: est-il bon de lâcher le vagin ou de faire la pipe?

Vous savez que le vagin a un goût bizarre
Forcément vous ne pouvez pas le savoir. Vous n’avez jamais goûté à ça
Ou bien vous l’avez déjà fait
Ceux qui l’ont fait n’ont qu’à lever la main
Bon commençons.
La question que j’ai posé est une question dont la réponse est difficile à dire en public, Surtout
Les questions comme:


Regardez vous le porno?
La réponse est souvent non


Hors les sites porno sont les 3 ème site les plus visités au monde

Faites vous la masturbation?

La réponse non


Ce sont ce qu’on dit le politiquement correct
Mais revenons à notre sujet

Loin de moi l’idée de vous donner des leçons en sexualité

Mon but est juste de vous montrer les dangers auxquels vous êtes exposé si vous goutez au vagin ou vous faites la pipe

Mais au fait pourquoi on fait cela

C’est pour procurer du plaisir à son partenaire en prenant son sexe dans la bouche, ou en y introduisant la langue, pour le cas spécifique de l’appareil génital féminin.

Quel est le danger le plus grave du sexe oral

D’après des médecins américains, la fellation et le cunnilingus pourraient être dangereux pour la santé et participeraient au développement des cancers de la bouche et de la gorge.

Dans une interview accordée à un journal de son pays, l’acteur américain Michael Douglas confiait que son cancer de la gorge n’était pas dû au tabac ou à l’alcool, mais au papillomavirus contracté lors de ses pratiques sexuelles bucco-génitales.

Mais ne vous inquiéter pas trop

Le papillomavirus c’est quoi ?
C’est un groupe de petits virus responsables de certaines infections sexuellement transmissibles et responsables de 99 % des cancers du col de l’utérus.

Toutefois, si vous êtes les habitués des séances de sexe oral, ça ne sert à rien de commencer à trembler. Le développement de ces cancers ne se fait du coup du coup ou là làlà. Les risques sont plus élevés pour les personnes qui ont des rapports de ce genre avec plusieurs partenaires sexuels différents

Les autres risques

Une trentaine de bactéries, virus et autres parasites se transmettent sexuellement, y compris lors des pratiques oro-génitales (fellation, cunnilingus, anulingus). Ces infections sexuellement transmissibles (IST) sont en recrudescence et touchent chaque année 350 millions de personnes dans le monde. Comme elles peuvent se développer sans qu’il y ait de symptôme clairement identifiable, cela favorise leur transmission.

L’HERPÈS GÉNITAL
Le premier contact entre le virus et l’organisme (appelé primo infection) se produit lors d’un rapport sexuel. Si le contact génital est le principal mode de contamination, il n’est pas le seul.

On peut aussi être contaminé par le virus de l’herpès lors d’un contact oro-génital. La sexualité orale favorise l’inversion de la localisation des virus, créant des infections qui se manifestent par des vésicules qui rompent et laissent des ulcérations douloureuses.

LA SYPHILIS
Alors qu’elle avait quasiment disparu au début des années 2000,

la maladie fait son grand retour, notamment chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. 15% des contaminations proviennent du sexe oral. La lésion apparaît environ 3 semaines après la relation sexuelle au niveau de la muqueuse buccale (lèvres, bouche, gorge). Elle peut disparaître spontanément même en l’absence de traitement mais on continue à être porteur de la syphilis et donc à être contagieux. Un simple traitement par antibiotiques permet de traiter la maladie mais encore faut-il en faire le diagnostic.

LA CHLAMYDIOSE
Il s’agit de l’IST bactérienne la plus fréquente.

La chlamydia peut se transmettre par les rapports sexuels via l’échange de liquides biologiques au contact des muqueuses génitales, orales ou anales, ce qui veut dire que la chlamydia est transmise principalement par la pénétration vaginale ou anale, non protégée et/ou par le sexe oral (fellation). Mais elle est très rarement transmise par cunnilingus.
La chlamydiose se soigne très bien par antibiotiques mais le(s) partenaire(s) doit être traités en même temps pour éviter la ré-infection.

LES GONORRHÉES
On assiste à leur augmentation depuis 10 ans avec environ 15 000 cas diagnostiqués en 2014, en particulier chez les hommes. La gonorrhée est transmise principalement par la pénétration vaginale ou anale non protégée,

et par le sexe oral, surtout par la fellation (elle est rarement transmise par cunnilingus). Le traitement par antiobiotiques est efficace, même si certaines résistances commencent à apparaître.

LE VIH
Le sexe oral est à faible risque pour la transmission du VIH car sans sperme, seul un petit nombre de virus arrive dans la bouche et la muqueuse buccale constitue une protection suffisante contre ces virus. Pour éviter toute contamination, il ne faut surtout pas laisser pénétrer dans la bouche (ou avaler) de sperme ou de sang (menstruel). Donc utiliser des préservatifs ou des digues dentaires (carrés de latex) lors des rapports bucco-génitaux

Quelques conseils pour terminer

Attention à la présence d’une blessure dans la bouche ou d’une inflammation muco-gingivale qui favorisent la transmission des IST.
Eviter le brossage des dents et l’utilisation de fil dentaire une heure avant et une heure après le rapport bucco-génital.
Ne pas garder le sperme
dans la bouche en cas de fellation.
Éviter le sexe oral
Si vous voulez vraiment le faire que ce soit avec votre femme ( mais pardon ne la forcez pas si elle ne veut pas)
Éviter de le faire avec vos différents copines

Éviter de trop regardez le porno, on vous ment beaucoup dans ça

Nous voici à la fin

Alors ma question est celle-ci,
qui d’autre veut goûter le vagin

Remarque

On est en Afrique, selon les anciens si on fait ces pratiques on risque de perdre le pouvoir sur Dieu a confié à la langue

Quand on prononce des choses avec sa langue le matin très tôt. Ça réalise. De plus selon les écrits saintes ce sont de telles pratiques qui sont à l’origine de la destruction de Sodome et Gomorrhe

Alors prudence

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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