Durant la période du fameux virus, Sherlock Holmes s’est lancée dans l’écriture d’un projet de film et, dans le but de chercher les informations correctes dans la jungle de la désinformation organisée par les médias dominants, en s’efforçant de découvrir les médiats (réellement) indépendants. Labeur ô combien difficile et exigeant tellement de temps. Entre autres découvertes totalement incroyables, extrêmement préoccupantes et mystérieuses, voici quelques-unes qui auraient excité au maximum Sherlock Holmes.
Quelques années avant la «pandémie» du Covid-19, plus de soixante médecins holistiques (donc en faveur des intérêts de Big Pharma) ont été, dans le monde et en particulier aux Etats-Unis, assassinés ou trouvés morts dans des circonstances mystérieuses, tandis que les autorités officielles concluaient généralement à des «suicides» et dénonçaient toute forme de complotisme.
Ugo Ulfkotte, éditeur d’un fameux journal européen, déclara : «J’ai été journaliste pendant vingt-cinq années. On m’a enseigné à mentir et ne jamais dire la vérité au public. J’ai été payé par la CIA, par des sociétés secrètes et par des Américains milliardaires. Les journalistes sont utilisés pour manipuler le peuple.» Peu de temps après, le 13 janvier 2017, une «crise cardiaque» a fait taire ce témoin pour toujours.
Alexander Kagansky, biologiste russe, 45 ans, faisait des recherches sur un vaccin Covid-19. Conséquence ? Le 20 décembre 2020, il a été retrouvé mort à Saint-Pétersbourg. Il serait tombé d’une fenêtre du quatorzième étage d’un immeuble, cependant on a constaté sur son corps des blessures au couteau.
Frank Plummer, fameux savant, spécialiste reconnu des maladies infectieuses dont le travail a influencé les politiques de santé publique au Canada et à l’étranger, enquêtait sur un vaccin contre le coronavirus du SRAS saoudite et le VIH/sida dans le laboratoire canadien à Winnipe. Résultat ? Assassiné le 4 février 2020 à Nairobi, au Kenya.
Zhou Yusen, savant chinois décoré par l’Armée chinoise, spécialiste du coronavirus et collaborateur du laboratoire de Wuhan, avait déposé un brevet pour un vaccin contre le Covid-19 en février 2020. Trois mois après, en mai 2020, il est mort mystérieusement.
Bing Liu, professeur à l’université de Pittsburgh, était sur le point de comprendre les mécanismes cellulaires en relation avec l’infection du SRAS-CoV-2. Il fut retrouvé dans sa maison avec des blessures d’arme à feu dans la tête, le cou, le thorax et les extrémités du corps.
Un chauffeur de l’OMS transportait des échantillons de coronavirus dans un véhicule des Nations unies, bien signalé. Le véhicule fut attaqué, le chauffeur est mort et un fonctionnaire du gouvernement blessé gravement.
Luc Montagnier, professeur français, prix Nobel en 2008 pour la découverte du VIH en 1983, s’était déclaré contraire aux vaccins anti-Covid et formula l’hypothèse de la création du virus Covid-19 dans un laboratoire secret. Le professeur fut stigmatisé comme atteint de la «maladie du Nobel», autrement dit de parler de choses faussement scientifiques, puis il fut marginalisé de la communauté scientifique, des médias principaux d’information et des réseaux sociaux.
Christian Perronne, professeur français, chef des services de maladies infectieuses et tropicales, a critiqué la gestion du virus Covid-19. Il fut démis de sa fonction, et sa page Facebook suspendue.
Jean-Bernard Fourtillan, scientifique français de renommée mondiale, a présenté une querelle judiciaire contre l’Institut Pasteur à propos de manipulation du virus Covid-19. Il fut arrêté et mis dans un hôpital psychiatrique.
Brandy Vaughen, activiste états-unienne, était directrice de vente de la multinationale états-unienne Merck. Elle démissionna et fonda LearnTheRisk.org, un site web destiné à l’éducation sur les risques liés aux vaccins. A l’âge de 44 ans, elle avait une santé impeccable. Le 7 décembre 2020, cette activiste elle fut trouvée morte à son domicile par son fils de 9 ans, suite à ce qu’on appela une thrombo-embolie pulmonaire bilatérale, également connue sous le nom de caillot sanguin dans une artère, à son domicile, à Santa Barbara. Les enquêteurs de la police ont examiné son décès plus attentivement en raison de la notoriété de Vaughan dans le mouvement anti-vaccination. Ils déclarèrent officiellement l’absence de tout signe de crime.
La seconde fabrique pharmaceutique la plus grande au monde d’hydroxychlorochine se trouve dans la ville de Taoyun, en Taïwan. Le 20 décembre 2020, elle fut la proie d’un incendie qui a réduit drastiquement la production.
Giuseppe de Donno, médecin italien, pneumologue, dès le début de la «pandémie» de Covid-19, fut le premier à soigner avec le plasma hyper-immune une cinquantaine de malades graves du Covid-19, en éliminant les symptômes en 48 heures. Ainsi, il montra que la solution contre le virus existe, fonctionne rapidement, avec l’emploi d’un produit naturel au coût dérisoire. Comme réaction, le gouvernement lui a envoyé les gendarmes ! Mais lui a continué à soigner les malades ; plus important encore, ses protocoles commençaient à être pris en considération dans toute l’Italie, en Europe, aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Il fut délégitimé, puis isolé et, le 27 juillet 2021, il fut découvert pendu dans sa maison. Pourtant, il était un fervent catholique, un tendre époux et père d’enfants et, s’il voulait réellement se donner la mort, il disposait, comme médecin, de solution moins horriblement spectaculaire aux yeux de sa famille.
Venons-en à des dirigeants politiques.
John Maguful, président de Tanzanie, refusa d’appliquer les mesures recommandées par l’OMS sur le Covid, en particulier le confinement et les masques. Plus encore : il envoya des prélèvements, déclarés humains, pour les analyser. Les résultats furent évidemment positifs au Covid. Alors, il révéla qu’il s’agissait d’une chèvre, d’une caille et d’une papaye, puis conclut : «Il est probable que les techniciens soient payés pour induire en erreur» Peu de temps après, le président tanzanien succomba à une «crise cardiaque» ; certains journalistes déclarèrent que sa mort était causée par le Covid.
Pierre Nkurunziza, président au Burundi, avait maintenu le scrutin présidentiel, au contraire des pays qui avaient reporté les leurs à cause de la «pandémie de Covid-19». Le 9 juin 2020, il mourut par «arrêt cardiaque», mais certaines sources déclarèrent qu’il aurait été en «détresse respiratoire» et «visiblement atteint du Covid-19».
Jovenel Moïse, président de Haïti, refusa le vaccin Astrazeneca offert par l’OMS. Le 7 juillet 2021, il fut assassiné par un commando composé de mercenaires colombiens et états-uniens.
Loukachenko, président de la Biélorussie. L’OMS lui offrit des milliards de dollars pour instaurer le confinement et les masques dans son pays, mais il refusa. Peu de temps après, il y eut une tentative de coup d’Etat, mais il échoua.
Andreas Noack, autrichien, docteur, chimiste, renommé pour son expertise sur le carbone, intervint sur YouTube en novembre 2020 lorsque des policiers prirent d’assaut son domicile et l’arrêtèrent. Mais, en novembre2021, le docteur déclara que l’hydroxyde de graphène est présent dans tous les vaccins étudiés ; en outre, il affirma que les médecins qui pratiquaient des autopsies sur les victimes des vaccins ne trouveraient rien, parce qu’ils cherchaient quelque chose de biologique comme cause de la mort, mais l’hydroxyde de carbone n’est pas biologique, donc pas visible aux tests. Le docteur a, donc, demandé aux fabricants de vaccins de répondre à la demande : pourquoi ces lames de rasoir se trouvent dans les vaccins ? Quelques heures après ses déclarations, le docteur serait mort d’un «arrêt cardiaque», selon le constat des médecins.
Thomas Jendges, médecin-chef de l’hôpital principal de Chemnitz, en Allemagne, déclara dans une vidéo à la fin de 2021 : «Ce qui arrive n’a rien à voir avec un virus. (…) N’a rien à voir avec la médecine. (…) Qu’il s’agit malheureusement d’une dictature», et a conclu : «Courage, colère et grand cœur est ce qui nous unit» Peu de temps après, en novembre 2021, il serait «tombé» du toit de l’hôpital, et en serait mort.
Mimmo Biscardi, italien, docteur et chercheur spécialisé dans l’anatomie pathologique, en janvier 2022, s’est mis à parler de graphène dans les vaccins, en démontant la version pandémique officielle. Il avait à peine réalisé une vidéo où il montrait les photos du contenu séché des sérums : des nanotechnologies comme engrenages électroniques dans le sang et dans le corps. Ce chercheur devait présenter les preuves en Europe dans quelques jours, après avoir déclaré : «Si je dois mourir, je veux mourir en héros !» Eh bien, il est mort suite à un «infarctus».
Tous ces décès sont-ils le résultat du seul hasard ? N’y a-t-il pas de corrélation entre eux ? Poser ces questions, est-ce agir en «complotiste» ? Malgré les déclarations officielles concernant ces morts, ces dernières ne semblent-elles pas, néanmoins, incroyables ? Et n’obligent-elles pas à s’interroger, quand on sait que les victimes se distinguaient par une position scientifique contraire à celle officielle ?
Concluons avec cette interview télévisée de 2016 à Klaus Schwab, fondateur et directeur du Forum économique mondial de Davos.
«Journaliste : – On parle de puces qu’on pourra s’implanter, ce sera quand ?
Schwab : Certainement dans les dix années à venir. Et d’abord, on va les implanter dans nos vêtements, et après on pourrait s’imaginer qu’on les implante dans nos cerveaux ou dans notre peau et, à la fin peut-être, il y a une communication directe entre notre cerveau et le monde digital. Ce que nous voulons, c’est une sorte de fusion du monde physique, digital et biologique.
Journaliste : – Est-ce qu’on pensera différemment selon vous, est-ce que ce sera une révolution si puissante qu’on concevra différemment le monde ?
Schwab : – Oui, ça changera parce que beaucoup des taches intellectuelles que nous exerçons maintenant vont être reprises par des machines intelligentes. Alors, ça va nous focaliser sur ce qui est vraiment humain, c’est-à-dire l’interaction entre l’empathie, la passion, l’amour, etc. Je crois cette révolution technologique, comme je l’explique dans le livre, a la possibilité de nous faire encore plus humains.
Journaliste : – Aimer encore plus avec la technologie ?
Schwab : – On va voir, on verra.»
En allant voir le site web du Forum de Schwab, on voit en présentation :
«Il est urgent que les parties globales intéressées coopèrent dans la gestion simultanée des conséquences directes de la crise Covid-19. Pour améliorer la situation du monde, le Forum économique mondial a lancé l’initiative la Grande Ré-initialisation.»
Tous les événements qui ont marqué la période de la «pandémie» et tous ceux qui ont suivi, jusqu’à présent, ne montrent-ils pas en quoi consiste cette «Grande Ré-initialisation» ? Et la nécessité pour les peuples d’en prendre conscience pour savoir comment réaliser la vraie «Grande initialisation», à savoir que les citoyens prennent en main la gestion de leur propre existence, libérée de toute emprise oligarchique mortifère ?
Est-il nécessaire de préciser que le film qui évoque les faits ci-dessus mentionnés n’a pas trouvé jusqu’à présent un financement pour le réaliser et le diffuser dans le plus large public possible ?
Algérie Black Liste