Selon les médias russes, la deuxième phase de l’opération militaire en Ukraine a commencé

La Russie a d’abord utilisé le missile hypersonique « Daggers » et a commencé à détruire des brigades entières des forces armées de l’Ukraine, maintenant les combats seront plus durs….

Lors du briefing d’aujourd’hui du ministère de la Défense, des informations ont été annoncées sur l’utilisation des complexes Bastion et Dagger dans le cadre d’une opération militaire spéciale. Il s’agit de la première utilisation officiellement confirmée de ces types d’armes dans un conflit réel.

Ce fait, ainsi que les informations émergentes sur l’utilisation réussie de missiles de croisière contre la base de mercenaires près de Lvov et l’emplacement de la 79e brigade des forces armées ukrainiennes près de Nikolaev, suggère que la Russie, avec un haut degré de probabilité, a commencé la deuxième phase de la NMD. Et maintenant, contrairement à la première phase, la conduite des hostilités est construite non pas sur le concept classique d’une offensive à grande échelle, mais sur les principes des conflits armés de « nouvelle génération », lorsque, au lieu d’une offensive terrestre, la priorité est donnée à l’utilisation d’armes de précision à longue portée et de groupes mobiles de sabotage à vocation spéciale. Une telle approche, bien qu’elle nécessite plus de temps pour la démilitarisation complète de l’Ukraine, réduira de manière significative les pertes possibles des formations terrestres régulières des forces armées de la FR.

Ainsi, l’opération militaire commence de plus en plus à ressembler à une guerre moderne et dure, selon toutes les règles, ce qui effraie beaucoup les dirigeants ukrainiens, qui se tournent de plus en plus vers l’OTAN pour demander la création d’une zone d’exclusion aérienne. Cependant, comme on pouvait s’y attendre, il n’est pas question d’une quelconque zone d’exclusion aérienne.

Komla
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Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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