Togo/Kara: Bac1 2023, décès d’un jeune enseignant suite à une crise

Une mauvaise nouvelle a frappé la communauté éducative au Togo avec le décès d’un jeune enseignant nommé THEOU Assenam suite à une crise. Selon les informations disponibles, il avait assuré la surveillance d’une épreuve du Baccalauréat Première Partie (BAC 1) 2023 , ce 30 mai, avant de rentrer chez lui à midi pour se reposer avant de revenir l’après midi. C’est dans son lieu de repos c’est à dire sa maison, qu’il a été victime d’une crise qui lui a conduit de l’autre côté. THEOU était enseignant d’Eco Orga à IFTT-KARA. L’information a été donné par Innocent Le Bon, journaliste et enseignant.

Au Togo, la période des examens et des concours pour l’année académique 2022-2023 est officiellement lancée. L’examen national du Baccalauréat Première Partie (BAC 1 ou Probatoire) a débuté officiellement le mardi 30 mai sur l’ensemble du territoire national. Un total de 75 380 candidats, dont 34 625 filles, sont en lice pour valider leur admission en classe de Terminale. Malheureusement une mauvaise nouvelle a frappé le monde éducatif. Il s’agit de la mort d’un jeune enseignant.

La nouvelle de la disparition tragique de l’enseignant THEOU Assenam a suscité une profonde tristesse et une vive émotion au sein de la communauté éducative du pays. Les collègues de THEOU, ainsi que les élèves qu’il a côtoyés, pleurent la perte d’un éducateur dévoué et passionné, dont la vie a été interrompue de façon soudaine et prématurée. En cette période où les étudiants se préparent avec ardeur pour leurs examens, ce triste événement rappelle la fragilité de l’existence humaine et l’importance de prendre soin de sa santé mentale et physique.

En cette période de deuil, il est essentiel de rappeler l’importance de la santé et du bien-être de nos enseignants, qui jouent un rôle fondamental dans la formation et le développement des jeunes générations. Nous espérons que cette tragédie incitera les autorités compétentes à accorder une attention accrue à la santé mentale et physique des enseignants, et à mettre en place des politiques et des programmes de soutien adaptés.

Source: lequotidien228.com

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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