Togo/Sokode: l’identification citoyenne à travers le programme WURI 

La numérisation devient la chose incontournable en ce 21è siècle ce qui oblige les états du monde de s'associer au mouvement.

La numérisation devient la chose incontournable en ce 21è siècle ce qui oblige les états du monde de s’associer au mouvement. C’est dans cet ordre d’idées que le gouvernement togolais a initié le projet d’identification unique pour l’intégration régionale et l’inclusion en Afrique de l’Ouest (WURI).

La question a été au centre d’un atelier les 20 et 21 avril 2022 à Sokodé au profit des autorités, responsables de service et les médias venus tous de la région Centrale.

Cet “atelier de vulgarisation et de consultation publique du projet d’identification biométrique” qui vise généralement à permettre aux citoyens togolais d’avoir facilement accès aux services de l’État est dans sa phase première (P1).

L’État a l’obligation de prendre soin de sa population et cela ne peut se faire que si elle maîtrise l’identité complète de celle-ci. Pour cela, cette activité permettra de mieux cibler les personnes vulnérables et de leur venir au secours.

L’objectif principal de cette initiative financée par la banque mondiale est d’attribuer à toute personne physique du Togo un Numéro d’Identification Unique (NIU).

Au sortir de cette rencontre, les autorités attendent des participants une implication directe.

<< dans un premier temps nous voulons leur présenter le projet et recueillir leur avis et ensuite nous nous voudrons qu’ils sensibilisent la masse une fois retourner dans leur localité respectives >> a déclaré le Colonel SILETE Devo Directeur général de l’Agence Nationale d’Identification au côté du préfet de Blitta M. BOTOSSA Boukari représentant à ce poste son collègue de Tchaoudjo l’une des absence de taille à cet effet.

Cette activité se situe dans le cadre de la feuille de route gouvernementale 2020-2025.

Le Sage

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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